Commentaire de Fergus
sur 1953 versus 2013 : paradoxe des conditions de vie
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Salut, Alberto.
Je constate que tu connais très bien la biographie de MM. Meynadier et Perret.
Non seulement le patron de Meynadier était unn casse-pieds, mais notre homme voulait faire du’une pierre deux coups : quitter le quartier (pourtant pittoresque) des Batignolles pour le Marais, et se rapprocher de chez lui.
Quant à Perret, le fait est qu’il craint que la petite boîte de son patron ne mette la clé sous la porte, et cela d’autant plus que les Asiatiques gagnent du terrain dans le secteur et font appel à des compatriotes pour tous les boulots artisanaux.
Bref, les temps sont durs.
Bonne journée.
Derniers commentaires
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19/10 19:25 - babelouest
@Fergus un peu plus haut, j’ai mis le lien vers ma vie d’enfant, si cela intéresse (...)
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19/10 08:03 - babelouest
@La mouche du coche allez, je mets à la disposition de tous cette version adaptée à (...)
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02/04 13:56 - Fergus
Re-bonjour, Bella Ciao Des conditions dont nous ne plaignions pas à l’époque, (...)
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02/04 13:38 - Bella Ciao
Fergus, vous m’avez « envoyé » vous lire ici. Donc = OK ;-) Jusqu’à 15 ans (...)
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09/03 09:04 - Jean-François Dedieu
Je ne sais plus tant l’article inspire de nombreux commentaires mais il me semble avoir (...)
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09/03 09:01 - Fergus
Bonjour, Jean-François. A noter, et c’est important, que les choses ont considérablement (...)
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