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Commentaire de spartacus

sur 1953 versus 2013 : paradoxe des conditions de vie


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spartacus spartacus 5 février 2013 13:46

Article de tranche de vie sympa.


Ils constatent un « désamour » de leurs enfants à l’école et en concluent que c’est « comme les copains ». 
D’autres trouveraient que l’école ne crée pas l’attirance et porte une responsabilité.
Leurs proximité politique du « front de gauche » leur empêche d’avoir un avis réel sur l’état et ses services, tous déplorables. La majorité des Front de gauche sont des Jacobiniste et toute critique de l’état leur est insupportable.

 Les Perret sont malgré tout assez confiants pour les études de leurs deux fils...
Hélas ils ont tord !

Confiés à une éducation nationale qui n’a aucun sens des réalités, avec 8 ou 10 années d’anglais scolaire, ils ne pourront pas décrocher le téléphone et avoir une conversation avec un américain. 
Chaque année les carnets de correspondance feront une liste incroyable d’absentéisme de professeurs préjudiciable à une bonne scolarité. 
A la sortie de l’école, là ou un américain sort avec des notions pratiques eux ne sortirons qu’avec des équations immatérielles. 
Ils seront inemployables par n’importe quel employeur. 
 
Confié a une éducation nationale politisée ils croient que le parti socialiste est « libéral ». Douce fumisterie.
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