Dénoncer le stalinisme, quel courage ! Plus de 40 ans après le « mai 68 estudiantin » des gosses de la bourgeoisie de gauche ( bénis par les pompido-giscardiens) , après l’avènement et le règne sans partage à gauche et extrême-gauche des trotskistes et autres mouvements gauchistes d’importation étasunienne (côte ouest des États-Unis d’Amérique) soutenus et financés par la CIA... sur la scène politique française...
Ce boulot qui a consisté -sous couvert de dénonciation du « stalinisme »- à liquider le PCF et abandonner la classe ouvrière dans le même temps et, de fait, évacuer l’idée même de prolétariat des discours des « partis de gauche » est fait depuis bien longtemps.
Cette dénonciation du « stalinisme » n’a jamais été là que pour valider cette société massifiée sans classes (au sens où la bourgeoisie gauche-droite libérale-libertaire est désormais la seule classe solidaire et « consciente »), pour mieux faire accepter là encore sous couvert d’émancipationS de défense de toutes les libertés (comprendre défense de l’individualisme, à entendre ici au sens d’égoïsme) la société de consommation « libidinale », faire l’apologie de toutes les transgressions soutenues par les mass-médias, la destruction de tout socle culturel identitaire (inutile de venir me chercher sur ce terrain avec l’utilisation de ce terme d’« identité », il a été utilisé par les marxistes sérieux bien avant le réveil des hystériques dextristes, néo-droitiers...)
Tout cela menant évidemment la plupart des militants dits « de gauche » à soutenir toutes les positions modernisatrices, « progressistes », provocatrices... ces derniers étant tellement convaincus du caractère conservateur du capitalisme. Terrible erreur ! A titre d’exemple, Giscard ou Sarkozy n’ont jamais été conservateurs, ils croient comme la plupart des militants de gauche actuels jours au mythe du progrès éternel...