Homme libre fait valoir son droit à la liberté d’expression dans le cadre déterminé par la charte d’AgoraVox. Dénoncer des pratiques rétrogrades et manifestement contraires à la nature (la puberté) est tout à son honneur. Pour ne pas être suspecté de partialité, il faudrait chercher si n’existe pas en occident l’équivalent du fer à repasser chimique ou hormonal en blouses blanches et bien aseptisées, et peut-être inversé (les implants, les hormones).
Il faut aussi se poser la question de la catastrophe que peut peut-être représenter une grossesse précoce au Cameroun pour une famille. (une sur 5). Il y a plusieurs ethnies différentes au Cameroun. Est-ce partout pareil ou dans une seule. Est-ce une coutume ancestrale qui perdure ou une pratique récente ? L’article est intéressant mais pour ceux qui n’ont jamais mis les pieds au Cameroun il est difficile de commencer à comprendre les mères qui font ça. Enfin il serait intéressant de savoir si ces coutumes s’importent en occident comme l’excision ou si ça reste une affaire entre africains. Un prochain article peut-être ?
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D’après
http://www.imagesandco.com/book.php?reportage=reportage_gripe&num=76&photo=18&photographe=19 je cite «
A Yaoundé, capitale du pays, l’accessoire le plus à la mode chez les adolescentes n’est pas la basket Puma, c’est le serre-seins : 44% des filles à la poitrine jugée prématurée ont porté le bandeau de contention. « De nos jours, l’amélioration de l’hygiène, des modes de vie, de l’alimentation favorise la croissance rapide des seins, observe Micyline Sinou, gynécologue à l’hôpital général de Yaoundé. Avant, ils poussaient vers 13 ans ; aujourd’hui, c’est sept mois plus tôt. Or les parents comme l’Etat ont démissionné en matière d’éducation. »