sirocco,
que ce soient métaux lourds d’un côté ou bien farines et antibio de l’autre, il ne faut pas chercher le moindre mal, car de chaque côté, ça déglingue votre santé.
Comme le disait quelqu’un ici plus haut et fort justement, nous sommes arrivés à un tel niveau d’empoisonnement de notre environnement, qu’il est impossible d’échapper à toutes les substances toxiques qu’il recèle, substances déversées par les apprenti-sorciers du monde « libre et développé » !
Même vos tomates poussées dans votre potager, plantées par vos soins et entretenues sans le concours des satanistes de Monsanto, auront baigné dans un air (certes à plus ou moins haut niveau), regorgeant de substances dangereuses.
Quid de la flotte que vous aurez utilisé pour les arroser ?
Même l’eau de pluie est chargée comme un vieux rocker en fin de carrière !
Le point de non retour est atteint depuis longtemps. Pour revenir à un environnement sain, pour les eaux, la Terre et l’air, il faudrait immédiatement arrêter l’utilisation de centaines de milliers de molécules dégueulasses, et attendre que la biosphère élimine petit à petit.
Ce sont des centaines d’années qu’il faudrait, peut-être même des milliers sans doute.
Mais bon, tant que l’humanité tolèrera de vivre dans ce système d’ultra concurrence, où seuls le profit et l’argent (nouveaux dieux vénérés, avec la laïcité des frères troispoints) ont droit de citer, tant que l’humanité tolèrera d’être asservie par Monsanto et consorts, rien, absolument rien ne changera.
Et l’humanité doit alors accepter de voir ses effectifs diminuer !
Tant que pour le terrien moyen, il sera plus important d’avoir le dernier i-phone, ou le dernier écran plat, que d’avoir un environnement sain, rien ne pourra changer !
Maintenant, éliminer Monsanto et consorts, ce sera difficile, mais c’est jouable.
Surtout qu’avec internet, loger les responsables satanistes, c’est pas trop dur.
Après, ben, il y a la phase de traitement (eh oui, les parasites, ça se traite) :et là, c’est nettement plus difficile à mettre en place, car ça va impliquer des sacrifices.
La question se pose alors : les terriens accepteront-ils les risques et les sacrifices ?
Peut-être, mais en tout cas pas maintenant ! Les gens ne sont pas prêts.
Le problème est que lorsqu’ils le seront, pour la biosphère, ça risque d’être trop tard.
H/