Éric,
merci pour votre regard, riche
tout d’abord, la différence entre « intérêt général », « volonté générale » et « bien commun » est fondamental, il me faut relire Rousseau et Robespierre voir ce qu’ils en disent, et comment ils règlent ces différences
perso, je pourrais admettre le gap entre « bien commun » et « volonté générale »...même si cela ne va pas dans le sens de la démocratie, il arrive que la volonté générale ne soit pas l’intérêt général, il faut donc des décideurs éclairés pour percevoir cet intérêt supérieur
la parade serait de penser les auditions, consultations, commissions suffisantes pour éclairer un peuple extrait et lui permettre de maitriser un sujet
bon, mais que je ne m’écarte pas de votre commentaire, très intéressant
les trois non-sens :
- le suffrage en politique ;
- l’esprit de parti ;
- le système représentatif.
à réfléchir, je manque de temps maintenant pour être pertinent, si tant est que je parvienne à l’être
« penser, les élus dominants vils et méchant » et à l’inverse « le peuple, bon, magnanime, généreux et clairvoyant »...ok, c’est trop simple et caricatural....(Robespierre le fut alors dans certains de ses discours, là encore ne pas extrapoler ni simplifier l’ensemble de ses discours)
« Les Français aiment voter, certainement, mais ils ne veulent pas du pouvoir. »
c’est très intéressant, permettez-moi de prendre le temps de trouver une parade rhétorique, qui intelligente, ne serait pas réthorique, et ne serait pas une parade