Le rapport dominant-dominé est un des paradigmes dont nous devons nous « libérer » pour développer une société coopérative car, comme vous le savez, c’est en changeant sa manière de voir que l’on fait avancer les choses. Si elle vous « échappe », c’est qu’à mon avis, vous choisissez de lutter pour défendre des droits de salariés et autres. Nous n’avons pas tous à agir de la même manière tant que nous agissons dans le même sens.
Il est évident que des acionnaires ne vont pas demander leur avis à des ouvriers sur leurs choix économiques. Ma simplicité désinvolte n’a que pour but de faire réfléchir au précepte évoqué qui peut se résumer par : Soyez le changement ! Ce n’est pas parce qu’une chose existe que l’on en a besoin !
Notre société est ainsi car des millions de gens l’ont choisit, préférant le confort de l’immobilisme et le maintien de leurs privilèges à travers les partis politiques hsitoriques plutot que le chaos qu’apporte les réformes sociales, politiques et économiques.
J’ai cotoyé la misère de ce monde à travers le métier d’animateur pour personnes sans abris, ce qui à aiguisé mon sens du partage de la responsabilité individuelle et collective. Mon discours, tiré de mon expérience, sert à sortir la tête de l’eau afin de faire face à ces responsabilités. Autrement dit, on peut soutenir et encourager kelk’un mais on ne peut pas le faire à sa place. Pour être cru : il faut apprendre à se sortir les doigts du cul ! (j’essaye de m’y appliquer)
Les castes n’est qu’un mot que j’ai utilisé pour signifier que le changement de société va engendrer une manière de vie que nous ne connaissons pas à ce jour. Le mot rentabilité que vous utilisez est inaproprie car je parlais d’évolution mais symptomatique du champ léxical anti capitaliste.