Les multinationales pour s’implanter
utilisent notamment les zones franches, les paradis fiscaux pour
entreprise, qui se situent souvent à la périphérie de la ville.
Exonérations d’impôts sur près d’une décennie, pas de taxes pour
importer leurs machines, constructions d’infrastructures
(routes,rond-point...) au frais du contribuable, syndicats absents ou
volontairement très marginal,...tous ses avantages impensables pour
les petites et moyennes entreprises.
Les fonds
d’investissements ou de pensions des multinationales grâce à l’aide
politique peuvent investir sur tous les secteurs d’activités sur
(presque) tous les pays de la planète afin de produire plus. Les
négociations aboutissent parfois sur un nombre non limité de
production et un accès aux ressources territoriales d’un pays pour
une multinationale sur la surface d’un pays. Tous ses investissements
non régulés et très faiblement réglementés finissent par
détruire le tissu local.
La stratégie économique pour
maximiser les gains financiers sur les salariés des multinationales
est à la fois de délocaliser les industries et les services dans
les pays à faible coût du travail, sans protection sociale et sans
moyen de revendications quelconques. Distribuer des salaires de
misère pour à peine de quoi survivre, aller dans des pays où l’on
autorise le travail des enfants et un vide législatif sur
l’environnement pour créer des pollutions gratuites nombreuses et
diverses : déversement, Co2, terres « fertiles »
locales,...Dans les pays où les délocalisations ont eu lieu (en
Occident notamment), généraliser les contrats précaire à bas
salaires sans hausse dans le temps, négocier des baisses de salaire
avec les syndicats sous divers prétexte, s’intégrer dans un
processus budgétaire de rigueur nationale pour en tirer partie ou
des contrats à titre gratuit.
Les conditions pour permettre à
une multinationale d’investir dans tous les secteurs d’activités :
industrie, alimentaire, immobilier,...pour devenir rapidemment
ultra-rentable par la hausse des prix passe par le soutien des
politiques par la loi (législatif) et juridique (la justice), et l’
Etat et les Etats leurs reversent des centaines de millions ou des
milliards d’euros régulièrement.
La surfacturation est
pratiquée, hausse fictive des prix et des tarifs divers sans aucune
raison économique ou financière et que la justice ne pourra (ou
voudra) pas pénaliser, ceci afin de faire plus d’argent. De plus, la
spéculation est devenue au stade de spécialisation des fonds
d’investissements des multinationales. Ce qui commence par acheter
les prix bas sur les marchés financiers en créant une hausse des
prix afin de généraliser des prix élevés pour faire plus de
profits. Puis maintenir les prix artificiellement élevés et encore
les augmenter, si baisse des prix parler de crise(entre guillements
en réalité) dans les médias avec les experts, les lobbies en
sous-main et les professionnels du secteur d’activité trier au
volet.
S’assurer tout en exigeant des rendements futurs très
élevés, ainsi ne pas prendre de risque en cas de problème et
encaisser des profits par les projections financières peu importe
les situations. De leurs côtés, les salariés et les petits
producteurs qui ont vus leurs droits au travail diminuer par ses
contrats (juteux) ne sont pas concernés par l’assurance pour être
rembourser. Et même si les gaspillages (alimentaire,énergétique,...)
sont colossaux.
Les multinationales peuvent parier sur leurs
propres résultats à la bourse, et peuvent donner de faux résultats
financiers pour un maximum de profits en pariant sur sa propre
multinationale. Il y a aussi des conflits d’intérêts avec d’autres
multinationales ou banques, avec parfois la complicité des autorités
financières. Une baisse rapide de la valeur boursière (ce qui
arrive) de la multinationale ou d’autres de ses investissements va
créer une destruction de l’argent. Ce gaspillage financier par la
disparition de l’argent en bourse provient du travail des humains,
des ressources naturelles comme l’énergétique, les forêts, les
minerais, l’eau, les denrées alimentaires, les captures massives
d’espèces,...
Les montages financiers se font aussi lors de
plan sociaux définitif et de délocalisation avec un plan social.
Par exemple, inciter les petits acheteurs ou les salariés à acheter
des actions avec la connaissance du changement de la valeur
boursière, avec entente entre spéculateurs et dirigeants de grandes
entreprises, suite à l’incitation à acheter les actions en bourse
et les manipulations de leurs porte-feuilles de leurs multinationales
pour empocher un maximum d’argent même en sachant qu’il y a un plan
social et une délocalisation.
Les multinationales sont
contre-productives aux sociétés humaine et à la vie, et ne
profitent qu’à une minorité capitaliste au détriment de l’intérêt
général.