Le problème numéro un pour les travailleurs, ce sont les syndicats !
On ne les voit jamais qu’au moment des élections professionnelles. Le reste du temps, ile le passent à se réciter leurs bréviaires. la seule chose qui importe aux dirigeants, c’est de conserver leur petite place bien au chaud et le moment venu de mettre le petit copain choisi à sa place.
S’ils consacraient ne serait-ce que la moitié de ce temps à vraiment se battre, à étudier les mécanismes économiques actuels au lieu d’appeler à une énième « journée d’action » qui rassemblera au mieux 5 % des travailleurs du pays et mettra 10 000 manifestants sur le pavé (selon la police, 1 000 000 selon les syndicats) afin de lancer des actions qui auront un véritable impact, les travailleurs s’en porteraient mieux !
Mais non, ils préfèrent battre le pavé le 1er Mai derrière de gros ballons rouges ridicules et une sono crachotant des « motivés, ouais,ouais » afin de faire croire qu’ils agissent.
Ils n’ont pas compris que ces foutues manifs ne servent à rien ? Le proprio de l’usine n’est plus dans son castel de l’autre coté de la rue, il est à Bangkok, Shanghai, Buenos Aires ou Portland. Il ne sait d’ailleurs parfois pas qu’il est propriétaire de tout cela.
Le monde a changé mais les syndicats agissent encore comme s’ils étaient en 1950 ! Pas étonnant de voir les français se détourner de tels fossiles !