Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de
les vaincre. Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple,
toute langue, et toute nation.
*** C’est la façon dont ce premier gouvernement mondial s’imposera et sera combattu que révèle Jésus à Jean. ***
Comme
l’ont évoqué certains commentateurs, on observe des « cycles » dans
l’histoire, qui rejouent des scénarios identiques sur le fond, la forme
étant adaptée aux coutumes du moment.
Ainsi, tout Empire, après sa phase de croissance et de gloire, décline, puis « disparait sans disparaitre », car il marque du saut de son apothéose l’avenir de l’empire qui lui succède.
Ce
que je veux dire, c’est que la fin d’un Empire est une destination
aussi prévisible que l’ultime finalité de tout être vivant ici bas : dès
la naissance, la mort est à l’œuvre, mais il nous est impensable de
l’imaginer avant que cette échéance ne soit proche. L’heure de la fin
de nos civilisations actuelles (car il faut bien en parler au pluriel) serait-elle
donc proche ?
Pour ne parler que de ces deux-là, si on met en
parallèle les Empires chrétien et islamique, dans le même temps d’une
prédiction de mondialisation, on retrouve la même ambition dans chacun
d’eux.
Les déclarations de certains « savants » de l’islam et du coran vont dans ce sens :
« Nous pensons que la charia
dominera »
« La charia sera mise en œuvre dans
le monde entier »
« La
victoire d’Allah est très proche, donc le mieux est de se préparer à une vague
de charia et d’islam »
La question que je pose aux spécialistes des textes que l’auteur
met en référence de son article est la suivante : que penser de telles
déclarations, et quels liens peuvent-elles avoir avec les prédictions de
St Jean ?
Dans le même ordre d’idée où il est question du temps (durée) de la vie, je pense à Oscar Niemeyer, un architecte qui a marqué l’Empire mondial contemporain, et qui vient de nous quitter à l’age de 105 ans (à 10 jours prés). Il disaient ceci :
« Le secret d’une existence réussie, c’est
de prendre du plaisir à aider les autres. Et de rester
optimiste. Toutefois, c’est vertigineux de réaliser que l’être
humain est sans finalité, insignifiant. Car la vie ne dure
qu’une minute. C’est juste un souffle. Les gens arrivent sur
terre pour raconter leur petite histoire et, quand ils
disparaissent, tout le monde a déjà oublié ce qu’ils étaient
venus dire. »