le
moine du côté obscur
« …pour moi la psychologie est
parfois une science de charlatans »
La psychologie serait plutôt une science de gens
malins et manipulateurs, des gens qui vivent de la naïveté des autres. Ce ne
serait donc pas une science de charlatans, mais plutôt une science de gens
intelligents, une science des prédateurs, qui savent comment parvenir à leurs
fins en amadouant leurs proies et mobilisent à cet effet tous leurs moyens
matériels et mentaux.
« Et ils semblent que les juifs qui
se disent descendants des hébreux (à tort ou à raison mais pour le moment je ne
rentre pas dans le débat) attendaient ou attendent un messie à la Moïse. Et ce d’autant
plus qu’ils pensent qu’ils sont entourés d’antisémites »
L’entourage
géographique des juifs, c’est le monde arabe. Or les juifs et les arabes
forment la race des sémites (descendants de Sem). Les arabes ne peuvent donc
pas être plus anti-sémites que les juifs ne le sont. En réalité, entre juifs et
arabes, le problème n’est pas l’anti-sémitisme puisqu’ils sont tous sémites. Le
problème c’est l’accaparement, par l’une ou l’autre branche sémite, de
l’héritage commun, l’héritage abrahamique, noachique ou adamique comme on
voudra.
La
distinction entre juifs et arabes ne repose pas sur le sémitisme ou
l’anti-sémitisme. Cette différence est une question de lignée dans la même
famille sémitique. Les juifs étant les descendants d’Israël (alias Jacob),
fils biologique de race blanche, second d’Abraham, et les arabes étant les
descendants d’Ismaël, fils biologique de race noire, premier d’Abraham.
L’antisémitisme
ne se trouve donc pas du côté arabe. Il se trouve historiquement du côté européen, indo-européen, comme on a le voit avec l’extrême droite européenne
avec comme point culminant l’hitlérisme. Mais votre sujet de dissertation est
le charlatanisme messianique. Il faut s’arrêter là.
L’article est bon dans l’ensemble.