Venant d’un quelconque quidam, cette annonce pourrait prêter à sourire, ou à crier au charlatanisme. Mais le Dr Gernez a reçu de telles récompenses prestigieuses qu’il est impossible de mettre ses qualités en doute :
Hier encore, Jeudi 28 Février 2013, ce vieux Monsieur, modeste et à l’humour très fin, s’est vu remettre à la mairie de Marcq en Baroeul la médaille d’or de la ville de Marcq par le député maire de la ville, et j’ai fait spécialement le déplacement de Charente pour assister à cet évènement, qui devait être une conférence de presse avec 200 journalistes invités : en vérité, aucun n’a daigné se déplacer, et ce n’est finalement qu’un scandale de plus, qui évoque une conspiration du silence.
Je vous propose de remédier à la carence ou à la mauvaise volonté des média en me permettant de publier plusieurs articles consécutifs dans lesquels je vous exposerai successivement toutes les découvertes que ce véritable génie de l’observation et de la déduction à pu faire au cours de sa longue vie. Cet homme a manqué de peu le prix Nobel, pour lequel le président de la république par intérim Alain Poher l’avait proposé dans les années 70, prix qui a finalement été attribué cette année là à un obscur américain , dont les soi-disant découvertes se sont d’ailleurs révélés entièrement erronées 15 ans plus tard.
J’ai besoin pour cela de la bonne volonté des rédacteurs Agoravox, à qui je demande de bien vouloir plusser ce premier article à une hauteur supérieure à celle des habituels chiens de garde moinsseurs d’Agora, toujours prêts à nuire et à camper sur les soi-disant acquis de la science.
Je ressens une grande responsabilité dans cette affaire, car cette révélation pourrait changer la face de la médecine et celle du monde. Je demande aux rédacteurs de prendre conscience de la leur, et de m’aider à publier. Je demande aussi aux lecteurs de diffuser ces informations le plus largement possible autour d’eux.
Ma difficulté est de savoir par où commencer ma série d’articles, tant le choix est considérable dans l’oeuvre d’André Gernez, et tant chaque découverte est plus importante que l’autre.
Je vais donc choisir un sujet relativement simple pour ne pas vous décourager : ici, comme souvent, simplicité et génie se rejoignent.
La tolérance immunitaire.
Vous savez tous la difficulté des greffes et des transfusions sanguines, liées au rejet de tout organisme de ce qui n’est pas lui, de ce qui est « non-soi ».
Or, il est deux périodes dans la vie ou l’organisme est capable d’accepter, et cela pour toute la vie, des substances qui lui sont étrangères. C’est d’abord la période foetale, où par exemple deux jumeaux dizygotes( ou faux-jumeaux) n’ayant donc pas le même patrimoine génétique, pourront voir leurs sangs se mélanger par leurs placentas fusionnés. Ce qu’on peut comparer à des souris d’expérience auxquelles on injecte à la naissance le sang de souris d’autres lignées.
Dans les deux cas, l’enfant vis-a-vis de son jumeau, ou la souris vis-a-vis de son donneur, pourront recevoir l’un de l’autre des greffes de peau sans rejet.
Une autre période est favorable à cette acceptation par l’organisme de ce qui lui est étranger, mais qu’il lui faudra incorporer sans rejet parce que faisant partie de son environnement futur, et ce sont les six premières semaines après la naissance. Tout ce que l’enfant rencontre à cette période, que ce soit par voie cutanée, respiratoire, où par injection sera désormais accepté sans rejet, sans allergie, et pour le reste de la vie. Et ceci comprend les poussières de maison, les pollens, les acariens, mais aussi de façon artificielle et provoquée par des injections issues d’un donneur, le sang et les organes du-dit donneur.