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Commentaire de julius 1ER

sur Cheval-bœuf et sociétés “mange-merde“


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julius 1ER 7 mars 2013 11:09

cela fait une bonne dizaine d’années que ce processus a commencé avec ce qu’on appelle la cuisine « moléculaire » érigé en nec plus ultra- par l’ingénieur chimiste Hervé This et par le pape de cette discipline le chef « cuisinier » espagnol ferran Adria le restaurant « el bulli’ à barcelone bizarrement fermé suite à une fatigue de son propriétaire ( mais surtout à cause du livre du journaliste G Zipprick »la cuisine moléculaire« ou il faisait la démo que dans une déclinaison d’un menu de 15 plats à l’el bulli on pouvait ingérer jusqu’à 15/30 grammes d’additifs en tous genres dans son bouquin il y a une liste de 20 pages d’additifs alimentaires autorisés, qui vont du glutamate parfois autorisé(dans certains pays il est interdit mais c’est un des plus connus, en passant par l’azorubine,la tartrazine, caramel de sulfite, le xantane (ou chiure de bactéries) le benzoate de sodium, anhydride sulfureux, disulfite de sodium, acétate de potassium etc sans oublier l’aspartame aussi autorisé et interdit dans certains pays en fait son propos était d’illustrer l’incidence dans la consommation journalière d’un individu de tous ces produits et leurs caractéristiques certains sont supposés favoriser certaines maladies comme alzheimer et aussi développer certains types de cancer, car beaucoup de leurs propriétés ne sont pas connues sur le long terme, 

surtout il est important de rappeler que déjà dans les cultures de base il y a énormément de chimie engrais et traitements, donc le croisement de toutes ces molécules et leurs effets est simplement impossible à matérialiser, mais je pense qu’un jour on apprendra que tel produit associé à tel autre provoque tel résultat mais là on entre juste dans une ère de science-fiction ! 
la grande bouffe industrielle subventionnée à coups de milliards au nom de la création de richesses et de l’emploi, nous emmène vers une destination inconnue, mais on peut déjà dire sans risque de se tromper que cette destination est un aller simple avec peu d’espoir de retour sauf à revenir à un modèle de conso plus frugal et plus direct cad avec moins d’intermédiaires, l’expérience tenté dans le sud-ouest ou les municipalités encouragent les gens à prendre des poulets chez eux pour diminuer les quantités d’ ordures(produits consommables) me parait être un embryon d’intelligence car avoir quelques poules et quelques oeufs frais est certainement préférable au modèle concentrationnaire d’élevage en batterie, là aussi déconcentration et redéploiement peuvent devenir synonymes de qualité de vie, il y a fort à parier que ces processus devront se multiplier si l’on ne veut pas que l’humain devienne un » Mutant"........................
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