@Rosemar :
Personne ne conteste ces réalités à part une poignée de crétins.
En outre, critiquer le féminisme n’est pas critiquer les femmes, a-t-on besoin de le rappeler... La plupart des féministes ne représentant qu’elles-mêmes pour faire court.
Nous disons simplement que la lutte des classes a été remplacée par une lutte des sexes qui tourne à la stupidité, la bêtise la plus crasse (voir les « Femen » et certains féministes hommes et femmes motivé(e)s par leur seule haine du mâle -> « l’homme forcément prédateur »).
Comme si nous étions tous appelés à nous fondre dans cette immense société sans classes (je le redis au passage, la ’grande’ bourgeoisie est la seule classe solidaire de nos jours) et à communier dans dans une espèce d’orgie consommatrice abrutissante... Ce néo-féminisme n’est là que pour faire oublier la violence inouïe des rapports de classes.
Vous, même, vous vous dites « de gauche » mais relisez-vous. Je résume « des patrons il y en a des biens ». Il est évidemment qu’humainement, on peut trouver des patrons plus sympathiques et altruistes que certains salariés et que la richesse matérielle n’intervient pas dans la sympathie que peut vous inspirer une personne (encore que...)... Mais il ne s’agit pas de cela... pas de psychologie mais de politique.
Vous adhérez à cette « gauche normale » (extrême-gauche incluse) qui a renoncé à cette lutte des classes.
L’ennemi n’est plus le patron exploiteur (surtout si c’est une femme), c’est l’homme !
L’esclavage moderne a encore de beaux jours devant lui.
Bonne soirée Rosemar.