la logique de ce raisonnement est juste mais son départ est incomplet, et la conclusion en devient fausse.
1) Une multinationale, une administration, ce sont des robots, même si elles sont trop grosses pour que cette évidence nous saute aux yeux, et même si leurs cellules de bases sont des humains (pour l’essentiel). Et vous voyez déjà les reproches sans nombres qu’on leur fait, dont celui de broyer les humains...
2) l’autoréplication est un anthropomorphisme non nécessaire. Pour la « reproduction » des robots, regardez plutôt du coté des champignons ou des insectes, ou même des entreprises : une usine (ou plutôt une série d’ateliers : fabrications de pièces, montages, alimentation en énergie etc.) et des machines-outils, certaines mobiles et d’autres non, concourant d’une façon ou d’une autre à l’extention de la « ruche » (+ des parasites divers...)
La clef, c’est que des humains, dans leur lutte contre d’autres humains, sont poussé eux-mêmes à aller toujours plus loin dans le developpement des systèmes cybernétiques. Jusqu’à ce qu’ils les dépassent