Le constat est fait. Que ce soit un indice comme l’IDH, le retour de maladies qui avaient été éradiquées de notre pays
(coqueluche, tuberculose, gale), le niveau scolaire en chute libre (12%
des jeunes sont illettrés en sortant de l’école primaire), tout montre que la France a
glissé dans la tiers-mondisation. Inutile de dire "si ça continue comme
ça, dans 15 ans blabla" : on y est déjà.
On apprenait hier que 75% des
demandes reçues par le Samu Social émanaient de familles originaires
d’un pays extérieur à l’UE, et que ces demandes avaient doublé depuis
l’année dernière. Les hôpitaux de tous les centres urbains de France
sont également occupés à dépister la drépanocytose chez 30 à 80% des
nourrissons (selon la région), une maladie qui ne touche que les
populations d’Afrique et du Maghreb.
Les jeux sont faits. 200 000
immigrés arrivent en France chaque année, dont 80% sont originaires du
continent africain, et dont bon nombre sont
illettrés. Arrivent aussi avec eux des maladies, des problèmes sociaux,
une nouvelle classe pauvre qui est socialement inintégrable : langue et
mœurs différentes, volonté de se regrouper par affinités
ethnico-raciales
et religieuses, éducation au mépris et à la haine de la France par
SOSracisme et consorts, éducation des jeunes à l’« émancipation » par le
rap et le foot, rêves de grosses berlines allemandes et économie
parallèle, salafistes ayant pignon sur rue dans de plus en plus de
quartiers...
La ville moyenne de province où je vis est, depuis
longtemps, une ville ouvrière et populaire. Depuis toujours le chômage,
la maladie, la pauvreté marquent cette ville. Mais je peux vous assurer
que depuis une quinzaine d’années on a franchi un nouveau cap : dans les
rues on ne voit pratiquement plus que des boucheries halal, des
taxiphones, des kebabs, et des DAB de banques. Il y a des Roms et autres
réfugiés de l’Est qui déambulent dans les rues, des bagarres entre
Turcs et Kurdes et des manifestations géantes pour/contre le PKK. Sans
même évoquer les habituelles « racailles » en jogging qui crachent partout
et urinent au milieu des places publiques, les rues grouillent de
« blédards » qui ne parlent pas Français, ne travaillent pas, et
interpellent vulgairement toutes les filles qui passent dans leur champ
de vision. Derrière
chaque poussette que vous croiserez se trouve une femme voilée, voire en
burqa, mais rarement une autochtone. Le mur de la boucherie halal qui
est en bas de mon immeuble est
tagué des mots : « ville de rebeu », et « algérie en force ». Avant il y
avait aussi « sénégal la trik » mais il a été effacé par les services
municipaux. Chaque soir de match de foot gagné par une équipe du Maghreb
voit les rues envahies de drapeaux étrangers, de scooters faisant du
rodéo et de voitures faisant des burnout sous les yeux de la police qui
n’intervient pas de peur de « stigmatiser » ou d’« amalgamer ». Dans les
transports en commun, certains font profiter à tout le monde de leur
musique : du raï vocodé entrecoupé de rap en franco-arabe. Les jeunes
sont tous habillés hip-hop, persuadés qu’être descendant de berbère ou
de kabyle habitant en France fait de vous un représentant parfait de la
culture urbaine afro-américaine. Ils s’insultent à longueur de temps :
nique ta mère, fils de pute, la chatte à ta grand mère, j’te casse ta
bouche, sale boloss, etc. Ils crachent partout où ils sont, dans la rue,
dans les halls d’immeubles. Quand ils ont fini une canette de Coca, ils
la laissent tomber là où ils sont. A ce niveau là, on ne parle même
plus de degré zéro de l’éducation. On est en deçà de zéro.
Pendant
ce temps, nos élites, politiciens systématiquement "éternellement liés à
Israël", intelligentsia des médias, pseudo-philosophes va-t-en-guerre,
pseudo-sociologues, présentateurs de télé (qui ne se contentent pas de
présenter, mais vous disent aussi quoi penser), chanteurs aux pieds nus,
etc nous demandent de vivre ensemble. Les menteurs et les escrocs
qui-se-fichent-de-la-France-mais-sont-attachés-à-Israël, ainsi que les
traitres
qui-se-soumettent-à-l’idéologie-dominante-par-peur-de-perdre-leur-place,
vous disent de vivre ensemble. Ils vous demandent de voir ça comme une
chance, un dialogue des cultures. De quelle culture parle-t-on ? De la
culture rap-ghetto-gang-afro-américain à laquelle s’identifient tous les
maghrébins et noirs nés en France ? Ou alors, en rentrant du travail, je
devrais aller me joindre à un groupe de réfugiés kosovars ou de
clandestins tunisiens pour leur demander de m’apprendre des danses
traditionnelles de leur pays ?