@ Yonanda : "et voila la gauche bien pensante avec ses arguments éculés ...
Si
tu met le mot « immigration » dans ta phrase alors on te réponds
’xénophobie’ sans même te lire, ce qui est de la diffamation pure et
simple.«
Julius 1er semble avoir fait taire yonanda. Tant mieux ! Je n’avais moi pas le courage de répondre à ce galimatias d’invectives, d’ »arguments éculés« ( eh oui ! ), et de clichés sans grand intérêt, que j’avais bien lus, contrairement à ce qu’il laisse penser. J’ai au passage trouvé savoureux le »certains qui croient penser alors qu’ils ne font qu’aboyer« .
Peut être me suis-je trompé en émettant la possibilité que cet intervenant, qui se permet de traiter ceux qui ne sont pas d’accord avec lui de » fonctionnaire qui croit que le but ultime de
toute vie... c’est d’obtenir une rente pour
ne plus être soumis a la loi (de la jungle) du marché« tienne un discours xénophobe : c’est vrai que l’on peut critiquer l’organisation de l’immigration et ses méfaits sans détester les étrangers. Mais je ne crois pas avoir fait de diffamation : son discours, manifestement »libéral« , montre que Yonanda, comme le dit Julius 1er, est plutôt du côté de ceux qui exploitent que du côté des exploités. Il aime la loi de la Jungle, parce qu’il se sent lion, je suppose. J’espère pour lui qu’il comprendra, quand il sera vieux et fatigué, que de plus jeunes non seulement lui prennent sa place, mais lui piquent ses économies ... au nom de la sélection naturelle !
Car c’est justement cet »argumentaire" que l’’on retrouve ensuite,développé d’une langue bien mieux maîtrisée, chez Roger Troutman, qui nous dresse un tableau apocalyptique propre à effrayer bien des bonnes consciences.
Quand on veut faire un procès en diffamation, on évite de se focaliser
sur un seul point du propos que l’on veut contredire. J’aurais aussi aimé qu’il me donne d’autres contre exemples que Jules
Ferry, dont les « propos ultra racistes » avaient au moins une intention civilisatrice, ce qui n’est pas le cas de bien des colonisateurs.
Quant à la phrase : "la politique de gauche ... qui n’est pas fichue de créer
des vrais emplois, et qui n’a pour seule politique que le mariage gay
et la marchandisation du ventre des femmes."... qu’on me permette d’éclater de rire, tant c’est ridiculement réducteur !
C’est dans ce genre de phrase que se révèlent les convictions aveugles de l’auteur.
Moi je dirais : Cette gauche qui n’est pas fichue de donner le droit de vote aux étrangers qui vivent et travaillent chez nous depuis plus de 5 ans.