Paradis, enfer, classes, gauche, droite, riches, pauvres etc...
Du temps ou je gagnais bien ma vie, le patron de ma boîte SINTRA ALCATEL gagnait très très bien sa vie....et alors ? C’est lui qui a ramé pour monter cette boîte et sa belle voiture était méritée...mais, moi aussi je gagnais bien ma vie.
L’article parle de dépenses ET surtout de recettes ! Si je comptabilise l’ensemble des dépenses publiques que j’ai financées, je suis, pour le moment, très loin de « rentrer dans mes frais » !
Je suis malade une fois tous les quinze ans. Donc je suppose que cette petite fortune « sécu » que j’ai payé....a permis au patron de « feu SINTRA » de profiter de soins publics lors de sa crise cardiaque ou de son AVC. Peut être qu’un gamin a pu être sauvé avec MON argent et alors ?
Pour ce qui est des paradis fiscaux, c’est vrai que beaucoup de « services » peuvent être privés. Ils sont accessibles uniquement à ceux qui en ont les moyens. Pas aux autres.
Qui sont ceux qui en ont les moyens ? Ceux qui ont bénéficié de gros contrats leur permettant de dégager une marge bénéficiaire confortable. Qui a (avait) les moyens de financer de gros contrats selon vous ?...Pour produire des RECETTES privées.
Si vous disposez d’un peu de temps, relisez les deux derniers paragraphes de l’article (6 lignes). Ils expliquent indirectement pourquoi SINTRA à disparu, pourquoi des individus comme moi sont au RSA et pourquoi l’entrepreneur SINTRA a (peut être) préféré devenir créancier de notre dette à partir de la SUISSE ou des îles caïmans.