Nous observons deux phénomènes opposés :
- la résurgence de courants océaniques profonds réchauffés lors du maximum médiéval, il y a huit siècles. Huit siècles, c’est le temps que mettent ces courants à s’enfouir et à remonter après avoir fait le grand tour sous les océans. Une de ces résurgences est située au sud du Groenland. Ces résurgences expliquent à elles seules la diminution des banquises.
- des maximums solaires connus, qui sont maintenant derrière nous. Ils sont parfaitement cohérents avec les températures relevées.
Du coup, la mer se réchauffe et on remet des pulls.
Le mythe du CO2 ne résiste pas aux divergences observées entre les courbes de températures et celles de la production industrielle (quid du refroidissement des années 1940 ?) Heureusement, d’ailleurs, parce que la consommation d’énergie (hors bio-masse : stable) étant dix-mille fois supérieure à ce qu’elle était au moment où commence la courbe de Al Gore en 1850, on serait tous cuits et archi-cuits si tout cela était vrai. D’ailleurs la courbe de consommation d’énergie au niveau mondial a un siècle de décalage par rapport à la célèbre « crosse de hockey » d’Al Gore (qui nous fait payer sa propagande et encaisse les taxes carbones, pas fou le mec) :
http://www.pactes-energie.org/ressources-documentaires/lenergie-en-quelques-notions/quelles-energies-et-pourquoi-faire/
La demande d’énergie ne démarre vraiment qu’à partir des années 1920 et ne part en exponentielle qu’après la deuxième guerre mondiale. En Europe occidentale, elle stagne déjà ou décroit.
En attendant, il y a belle lurette que l’on ne parle plus de réchauffement climatique (ça, c’est vraiment ringard, faut vivre avec l’instant qui passe ! ) mais de dérèglement climatique, et maintenant d’épisode climatique. C’est qu’il va falloir en changer du vocabulaire pour nous faire passer à la casserole de la taxe carbone quand nous devrons retirer nos moufles pour faire le chèque.
Passekon va plutôt vers un cycle froid. C’est déjà ce que racontent les calottes glacières.