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Commentaire de kimbabig

sur Référendum local en Alsace : les non-dits du oui. Par Yvonne Bollmann


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kimbabig 6 avril 2013 16:14

Tiens, le retour du gros Ferrier, l’ancien Mégretiste déguisé en Whiskas avec ses idées de collabo...

Extrait d’un mail de Thomas Ferrier à un de nos rédacteurs : "[...]Par ailleurs, je n’ai jamais été adhérent au Front National mais uniquement au Mouvement National Républicain.« 

Le MNR de Mégret était bien pire que le FN, dans la catégorie extrême-droite... Et ce guignol ose venir jouer les socialistes sur le Net en répandant son idéal d’europe aryenne...

Eh non, le peuple c’est la Nation, rassemblement fraternel du peuple Français, c’est ça la réalité d’aujourd’hui. Ceux qui projettent de détruire la Nation en la forçant à s’intégrer à une construction européenne conçue par, et pour les financiers sont, eux, les vrais ennemis du peuple.

Ceux qui agressent le peuple sont ceux, qui à Bruxelles, imposent des mesures d’austérité, la casse des services publics, la remise en cause des acquis sociaux, la déflation salariale. Le seul moyen pour le peuple de s’en libérer est d’abattre l’ue pour ne plus subir les diktats austéritaires imposés par Bruxelles.

Car l’europe ne peut pas être autrement. L’europe ne peut être, comme la France, une Nation, car il n’existe pas de »peuple européen« . Il n’existe pas de raisons qui fassent qu’Allemand accepte que ses impôts servent à financer la protection sociale en Grèce,en Espagne ou en France : on en a vu sans cesse la preuve depuis le début le »crise« . Il n’existe pas de politique économique qui puisse convenir à tous les pays de l’ue : une politique bonne pour l’Allemagne est nuisible pour les pays Latins.

Il n’existe même rien qui ne soit commun et exclusif à tous les pays européens (à l’exception de la Ligue des Champions...), et le gros Ferrier, qui voudrait son »europe-nation" (sic) a été bien incapable de trouver quoique ce soit qui corresponde à cette définition !

Donc c’est bien l’europe le boulet. Le boulet qui lie la France à des pays déclinants, à des pays dont les intérêts, les modes de fonctionnement, et même la vision de ce qu’est ou doit être une nation sont incompatibles avec les nôtres.

Heureusement, s’approche le temps où nous allons pouvoir être débarrassés de ce boulet. En Allemagne, la montée d’un parti anti-euro pourrait contraindre Merkel à prendre la sage décision de revenir au Mark suite aux élections de septembre.
A Chypre, les décisions prises reviennent à exclure le pays de la zone euro.
En Italie, l’européiste Monti, garant de la soumission de la péninsule à l’europe, a été balayé par le peuple, tandis que les eurosceptiques ont cartonné.

Pour sauver leur construction aberrante et nuisible, les européistes essayent de favoriser le régionalisme pour affaiblir les Nations. Tout ce qu’ils pourraient réussir, c’est affaiblir les solidarité nationales (on l’a vu avec les Catalans qui ne veulent plus payer pour les autres Espagnols), mais certainement pas en créer une à l’échelle de l’ue (c’est d’ailleurs nullement le but puisqu’il s’agit de diviser pour mieux régner).

Or le régionalisme est mort en France, seuls subsistent quelques îlots de forte vernacularité (dont l’Alsace, qui a en plus la particularité de voter à droite quand le reste du pays vote à gauche) : l’argument principal de ce référendum n’est pas de créer un quelconque état fédéré alsacien, mais de réduire les coûts cumulés des institutions départementales et régionales (ce qui sera fait de façon plus efficace en supprimant la région).

Il faut espérer que l’agonie de l’europe soit rapide, car elle est inéluctable à terme.


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