@ Pierre JC Allard
D’accord avec toi Pierre, un peu à mon cœur défendant, mais avec le plein aval de mon cerveau.
Avec un peu de recul, ce qu’on attend d’un capitaine de bateau, ou d’un commandant de bord, ce n’est pas d’être un gentil neuneu inexpérimenté (fut il plein de grands et bons sentiments, SIC !!!) mais plutôt d’être un salopard dur à cuire qui ramènera le bateau ou l’avion intact avec son contenu. Même si cela induit de garder un œil sur ses agissements pour en limiter les abus. En matière de diriger, mieux vaut un salaud efficace, qu’un c.. naïf.
A quand le « permis de devenir un élu », avec examen du dossier professionnel (10 ans de vie civile minimum, je parle de la vraie, celle ou il faut justifier de RESULTATS), épreuves pratiques et théoriques, et enfin grand oral public. Tout cela n’autorisant qu’à se présenter pour un mandat de débutant, conseiller municipal, maire de petite commune, etc..., l’évolution vers de plus haute responsabilités étant soumise à l’examen des RESULTATS, et conditionnée à l’absence de casseroles. La sanction, en cas d’échec, étant l’inéligibilité, temporaire ou définitive. Cela limiterait considérablement l’élection (et le maintien aux commandes) de baltringues pleins de vents.
Concernant notre François II que le monde nous envie (rire nerveux), voir un type qui piloterai à grand peine un cerf volant promu au rang de commandant de bord d’un 747, ça fait rien moins que de me faire flipper dur.