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Commentaire de louphi

sur Grèce : des habitants s'opposent à la charité raciste d'Aube dorée


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louphi 8 avril 2013 12:44

Résistance


Intéressant et édifiant l’article ! Bel exemple que, même dans un pays totalement ruiné par le capitalisme, une épave économique et sociale comme la Grèce, la population peut encore rester assez lucide pour ne pas mordre les appâts et se faire hameçonner par le chauvinisme fut-il néo-nazi.

Le chauvinisme est une entreprise du capitalisme, son arme idéologique de choc, pour se mettre à l’abri de la colère des populations qu’il décharne et désosse, en détournant cette colère contre les populations elles-mêmes et contre les autres peuples et nations. On note qu’en France, le chauvinisme de l’ensemble de la classe politique ne cesse de progresser sous la houlette du parti néo-nazi du clan familial de Jean Marie Lepen étiqueté Front National (FN).

En France particulièrement, devant la putréfaction idéologique et politique de la gauche entière à la remorque du capitalisme, en commençant par l’ultra-gauche anarchiste et trotskiste nourrie au lait de la propagande rageuse de l’impérialisme contre le communisme, propagande concentrée sur Staline, architecte en chef de l’URSS, dernier chef historique de la classe ouvrière révolutionnaire internationaliste, on peut dire pour le moment que l’avenir du national-chauvinisme en France est radieux.

Fait nouveau en France, ces derniers temps surtout, la social-démagogie et le social-chauvinisme ne suffisent plus à la gauche pour brider la population dans cette crise de plus en plus aiguë du capitalisme. En plus du social-chauvinisme, l’ensemble de l’aristocratie politique de gauche, suppôt du capitalisme, s’ingénie désormais à secourir le capitalisme par une nouvelle arme de désorganisation de la population, la promotion tous azimuts de l’homosexualité. La putréfaction idéologique et politique de la gauche social-démagogue se coagule ainsi sous une carapace sociétal-démagogue.

On pourrait donc conclure avec l’auteur de cet article que l’exemple du petit village Potama de l’île de Thasos en Grèce, gravats du capitalisme, est une petite lueur pour le sursaut des peuples contre les manipulations du capitalisme aux abois.

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