• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de spartacus

sur Venezuela : La face cachée du beau-gosse de l'opposition


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

spartacus spartacus 17 avril 2013 19:02

Quel tissus de conneries et d’âneries !

http://america-latina.blog.lemonde.fr/2013/04/04/au-venezuela-le-chavisme-sacharne-contre-globovision-derniere-chaine-dopposition/

Capriles n’est ni de près ni de loin actionnaire de Globovision.

Pour info ce qui se c’est passé réellement dans les média au Vénézuéla.

L’autorité vénézuélienne chargée des télécommunications, Conatel, a lancé, le 2 avril, la dixième procédure administrative contre la chaîne d’information en continu Globovision, la seule alignée sur l’opposition. La chaîne est accusée d’avoir interrompu pendant six minutes la retransmission obligatoire d’une intervention télévisée de Nicolas Maduro, le président par intérim, candidat à la succession d’Hugo Chavez. 

Le 20 février, Nicolas Maduro avait inauguré le nouveau système de télévision numérique ouverte, destiné à remplacer à terme la diffusion en mode analogique. 
A cette occasion, deux chaînes avaient été exclues, Globovision et Vale TV – propriété de l’Eglise catholique, diffusée uniquement à Caracas – condamnées ainsi à disparaître des écrans.

En 2012, Globovision avait été condamnée à une amende de 2 millions de dollars (1,56 million d’euros) pour sa couverture des mutineries dans les prisons de Caracas l’année précédente. 
La chaîne devait s’acquitter en plus des frais de justice (1,3 millions de dollars). La Cour suprême avait ordonné un gel de ses avoirs à hauteur de 5,6 millions de dollars.

Les abrutis au pouvoir ont instauré une li inique : 
La loi vénézuélienne punit les médias susceptibles de  « déconsidérer les autorités légitimement constituées » ou encore d’« inciter ou promouvoir l’apologie du délit ». 
Des peines de prison sont prévues en cas de « diffamation » ou « injure ». Reporters sans frontière (RSF) qualifie ces dispositions de « primes à la censure ou à l’autocensure ».

Les médias d’Etat propagandistes comptent désormais six chaînes (VTV, Vive TV, Asamblea Nacional TV, Tves, Avila TV et Telesur), trois radios nationales (Radio Nacional, YVKE Mundial, Rumbos), de nombreuses radios « communautaires », des journaux et des sites d’information ou de propagande, ainsi qu’une agence de presse.

Chavez avait imposé la diffusion intégrale de ses discours, à travers les « cadenas », retransmises obligatoirement sur toutes les chaînes de télévision, interrompant à tout moment leur programmation. On ne compte pas moins de 2 000 « cadenas » entre 1999 et 2010, une moyenne de quatre par semaine

La liberté est morte au Vénézuéla, le propriétaire Guillermo Zuloaga a jeté l’éponge et annoncé que la chaîne serait vendue à un homme d’affaires plus accommodant avec le pouvoir, Juan Domingo Cordero. Il a adressé une lettre au personnel, le 11 mars, leur disant que l’entreprise n’était plus viable du point de vue économique, politique et juridique, faute de renouvellement de la concession, qui expire en 2015 et du harcèlement de l’Etat, soutenu par la Cour suprême : « Nous avons supporté des attaques physiques, des insultes et toutes les formes de répréhensions », écrit-il....

Vos idoles sont une bien belle bande de pourris !

Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès