Pas de chance pour vous, je suis titulaire d’un doctorat en psychologie, enseignant dans un département de psychologie d’une université française, j’ai publié et fait des conférences, et j’interviens dans la formation des professionnels de l’enfance et des assistants familiaux sur des sujets comme le développement de l’enfant, la maltraitance, les abus sexuels, etc. Alors, avant de donner des leçons...
Oui crazycaze, vous pouvez le dire, mais je ne suis pas obligée de le croire, si ?
D’autant plus qu’avec le pseudo que vous avez choisi...
Le premier lien ne fait état que de la quête identitaire que l’on retrouve chez certains enfants, notamment nés sous X (et donc qui ne connaissent pas leur mère) mais pas chez tous.
Donc ? Pas récevable à vos yeux ?
Si vous connaissiez un tant soit peu le sujet, vous auriez pu m’objecter une étude publiée qui a été réalisée par des chercheurs de l’université du Texas et de la Brigham Young University (université privée d’obédience mormone), mais les erreurs méthodologiques et la pauvreté de l’analyse statistique discréditent complètement leurs résultats
Ca vient sans doute de moi mais je ne vois aucune cohérence à ce que vous écrivez ?
J’aurais dû mettre l’étude en question comme preuve mais heureusement que je ne l’ai pas fait ? Et au lieu de choisir mes sources pourquoi vous ne mettez pas les vôtres ?
Seuls un bon nombre de psychanalystes restent de farouches opposants à l’adoption par des couples homoparentaux, et pour cause : le fait que ces enfants ne manifestent pas davantage d’inclinations homosexuelles à l’âge adulte ruine définitivement la pierre angulaire de l’approche psychanalytique, à savoir le complexe d’oedipe. Il faut dire que la très grande majorité des psychanalystes n’ont pas fait d’études de psychologie, et n’ont donc aucune connaissance de l’ensemble des théories qui existent dans le domaine de la psychologie du développement.
Ah, parce qu’il n’y a que l’orientation sexuelle qui vous intéresse ? Tout autre type de souffrance née du fait de ne pas connaître ses putains d’origines n’a aucun intérêt à vos yeux de spécialiste ?
Par contre, je ne vois pas dans mon commentaire, surtout à la fin, en quoi je vous mets en cause personnellement. Mais si vous vous êtes reconnue dans ce dernier paragraphe, c’est bien navrant pour vous.
AH ! Donc le « vous » dans la phrase Des gens qui comme vous les désigneront du doigt, de ces parents qui défilent dans les rues et qui élèveront leurs enfants dans la détestation de ceux qui ne sont pas comme eux s’adressait à qui précisement ? A mon voisin ?
Quand je vois les enfants fracassés par des couples hétérosexuels, je vous assure que bien souvent on se dit qu’il y a des enfants qui auraient mieux fait de n’avoir ni père, ni mère.
Je suis bien d’accord avec vous, dans mon Pays on dit que nous naissons tous égaux mais que dix minutes après le Bon Dieu a déjà choisi ses chouchoux.
Le fait qu’un enfant soit élevé par un couple, hétéro ou homo, un adulte seul, des grands parents, un groupe d’adulte, etc. ne garantie en rien son avenir.
Et encore heureux. Mais il ne s’agit pas ici « d’éléver ». C’estvde la naissance dont il s’agit, c’est de légaliser le fait de faire naître un môme de deux pères et pas de mère et l’inverse.
Même de trois (trois) parents. Vous pouvez dire aujourd’hui qu’il n’y a aucun dommage collatéral ?