• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de lambda

sur Le baiser qui tue...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

lambda 22 avril 2013 11:53

@ 65bève

en m’accusant de mensonge, vous faites preuve d’ignorance sur les poursuites que pourront engager tout couple masculin devant la cour européenne pour faire appliquer la loi française sur le mariage

voici un extrait d’un narticle du Nouvel Obs :

«  »

Le gouvernement devra légaliser la PMA et la GPA

Pire : dès lors, le gouvernement sait qu’il devra légaliser la GPA (gestation pour autrui). Puisque la loi est fondée sur l’égalité entre « tous », deux hommes qui vivraient ensemble et souhaiteraient avoir un enfant – comme les lesbiennes pourront le faire grâce à la PMA – feront valoir ce qu’un certain Bruno Roger-Petit appelle comiquement « leur droit au désir d’enfant » (quelqu’un m’aurait donc interdit de désirer un enfant, et on ne m’aurait rien dit ?). En clair, donc : leur « droit à l’enfant ».

Cette fois, le pot aux roses est découvert : l’adoption de la loi sur le « mariage pour tous » entraînerait inéluctablement, un jour ou l’autre, l’autorisation pour les couples homosexuels masculins de faire appel aux services d’une mère porteuse. Ce qui est rigoureusement interdit en France, au nom du refus de toute marchandisation du corps des femmes.

On sait en effet depuis longtemps que la gestation pour autrui est un marché. Il y a une demande, qui crée une offre. Et entre les deux, de l’argent, un échange marchand. Madame Badinter, qui aimerait que tout ceci se fasse désormais de manière bénévole, reconnaît elle-même que cela ne répondrait pas « à toutes les dérives possibles ». Comme la « location » de son utérus par une femme, afin de satisfaire le « désir d’enfant » de deux hommes...«  »«  »

article complet

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/771253-mariage-homo-pma-et-gpa-le-genial-tour-de-passe-passe-de-hollande-et-taubira.html

 

 

 

 

 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès