Ce qu’il faut comprendre, c’est que la population grecque (et greco-chypriote) paye aussi son insoumission au système mondialiste.
En particulier le refus d’accepter le cadre monétaire, financier et fiscal imposé par l’UE, le refus de la séparation de l’église et de l’état, le refus du fichage numérique centralisé a Bruxelles des citoyens, le refus des cartes d’identité numériques biométriques a puce.
Le mouvement de résistance a deux foyers : l’église grecque et la gauche qui ont toutes deux une longue histoire de resistance, qui se sont souvent retrouvées unie dans le maquis pour lutter contre les Allemands, les Anglais, les Turcs...
L’église a dénoncé les traités européens (Maastricht, Shengen) dans le milieu des années 1990 en prédisant qu’ils ouvraient la porte à l’assujettissement économique du pays.
Elle a dénoncée depuis la mise en place de la monnaie unique et de la carte d’identité numérique faisant office de moyen de payement unique comme étant une réalisation des écritures, en particulier l’apocalypse predisant que nul ne pourra acheter ni vendre sans recevoir le signe de la bête a la main ou au front.
La mise en place du fichage numerique centralisé des individus est aussi denoncée par la gauche qui a le souvenir cuisant du fichage de la population par le regime des colonels ntre 1967 er 1974, fichier qui avait ete brulé lors du retour de la dmocratie.
La Grèce a aussi une tradition de lutte contre l’imposition qui est heritée du joug ottoman, lequel imposait specifiquement les chrétiens et les juifs de deux impots :
un impôt de capitation (jizya) et un impôt foncier (kharâj)
Les Grecs ont donc culturellement la perception du fait que l’impôt peut servir doutil d’oppression politique. C’est pourquoi il n’eistait presque pas d’impot foncier jusqu’a l’arrivée de la Troïka et que les impots qu’elle imposent sont instinctivement perçus par les Grecs comme des moyens d’assujetissement par l’UE.
Ce qui explique aussi pourqoi l’impôt ne rentre pas : les Grecs ont 400 ans d’histoire de soustraction à l’oppression fiscale ottomane derriere eux, avec la collaboration des corps constitués et de l’église.
Cette opposition au fichage, à la taxation et à l’instauration d’un moyen de payement et d’identification numerique est spécifique au sein de l’UE, culturelle et vicérale.
De nombreux Grecs prefereront crever de faim que d’accepter d’etre fichés, de prendre une carte d’ID à puce et de payer des impots fonciers pour financer la dette souveraine qui est à leurs yeux une tribu versé aux puissances occupantes.