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Bien. Il faut donc s’y recoller.
Car effectivement la loi telle qu’elle nous a été « vendue », c’est à dire un-mariage-qui-cache-une-forêt,
ne boucle rien : sous couvert de régler les problèmes existentiels d’une partie de la population (et qu’elle ne règlera pas, d’ailleurs, c’est un leurre), elle expose l’ensemble de la population à des problèmes existentiels accrus.
Car on ne peut pas résoudre les problèmes de parentalité d’une partie de la population
en décidant qu’il n’y a qu’à inscrire dans la loi le déni de parentalité.
Il peut y avoir des parentalités secondes, par des adultes faisant-office-de parents
auprès d’enfants (élevage, protection et amour)
mais il y a une parentalité originaire, à l’origine de l’être, qu’il est aberrant de dénier, sous peine
de ravages chez tous.
L"homme sans gravité, ce n’est pas qu’un titre de livre, c’est un état qui provient du manque de repères actuels, mais pas n’importe quoi fait office de repère : le repère primordial et incontournable, c’est la différence des sexes et des générations. On peut faire du bricolage après, mais on ne peut pas le supprimer comme point de départ.
Effectivement, comme vous l’écrivez et comme il faut continuer à le dire :
L’HOMOSEXUALITE N’ETAIT PAS LE DEBAT.
Ceux qui continuent à recentrer systématiquement les choses sur ce terrain là font preuve
de surdité et de cynisme,
et sont dans la rage de vouloir maintenir à tout prix un objet à haïr.
Ce qui est commode, non seulement pour la jouissance que cela procure,
mais surtout cela permet de détourner le regard, d’éviter toute remise en cause personnelle.
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