@ Corinne Colas
Votre critique est
juste mais incomplète. Le rôle de la Miviludes devrait être la lutte contre toutes
les dérives des groupes à
prétentions spirituelles.
Et, bien sûr, les
promoteurs du « gender » devant lesquels le gouvernement et les parlementaires
majoritairement viennent de se coucher devrait être, comme aussi la
« scientologie », parmi les objets d’observation et de critique de la
Miviludes mais aussi, par principe toutes les religions devraient être observées et leurs dérives mises en lumière.
Voir ici :
http://blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
Extrait :
»ce sont bien ces
institutions qui ont indirectement préparé le criminel à son crime en lui
enseignant la prétendue double et incohérente volonté du Dieu de la Bible et du
Coran : tu aimeras ton prochain comme toi-même et tu le haïras quand ce sera nécessaire ; tu ne tueras pas et tu
tueras abondamment quand Je te
demanderai de le faire « pour la bonne cause ». Dans ce cas-là Je « frapperai
d’anathème » l’individu, le groupe ou le peuple que tu pourras ou devras faire
disparaître. Il sera mis ainsi hors du commun des mortels protégés par la règle
d’amour et de respect mutuel, et la contradiction flagrante cessera d’en être
une."
Je rappelle ici une
fois de plus qu’il s’agit seulement pour moi de lutter contre les
« dérives » spirituelles et contre le maintien du "dogmatisme
criminogène" et non pas contre le tout des religions.
Et surtout pas contre
le tout du christianisme, ou encore de la « Foi bahaïe » qui, l’une et
l’autre, ont dans leur théologie originelle les bases essentielles à la
pacification du monde.
En fait, le problème
de la Miviludes est comparable à celui de l’enseignement de la morale à l’école
: il est faussé et échouera forcément dès lors que ce sont des Pouvoirs
intéressés qui définissent, de manière opportuniste, la
« morale » et les « dérives sectaires ».