Ce que font déjà les agriculteurs en grande majorité .Pourquoi ? Parce
qu’elles ont un rendement supérieur aux semences traditionelles .Qui
plus est , rien ne les oblige .
Au contraire, ils y sont obligé. En achetant des semences modifiées Monsanto les agriculteurs s’engage dans un accord de licence à ne récolter aucune repousse spontanée. Par conséquent ils sont forcé de racheter les semences après chaque récolte. L’agriculteur ne peut en aucun cas resemer les graines récoltées.
Derrière l’appellation « Brevetage du vivant » qui est utilisée pour
faire peur , un peu comme un mouton phosphorescent , se cache le droit
de propriété intellectuelle
Belle façon d’en parler, mais je pense un peu trop naïf (car j’ose croire qu’il ne s’agit que de naiveté). Derrière le brevetage du vivant se cache surtout la boite de pandore du profit économique au détriment de l’intéret général.
Les êtres vivants se multiplient et se reproduisent gratuitement, Monsanto et les autres semenciers OGM veulent tout simplement en finir avec cette gratuité obscène de la vie.
Il s’agit de stériliser les espèces vivantes afin de substituer au cycle de la reproduction celui de la production industrielle.
En poussant la logique un tout petit peu plus loin ... revenir aux semences traditionelles c’est courir le risque de revoir ressurgir des épidémies et donc ... des famines .
?? j’aimerais comprendre votre logique, mais ... non vraiment je ne vois pas. :-I
C’est exactement le contraire. Ce sont précisément les cultures modifiées et le système pesticide (que Monsanto ne cherche qu’à poursuivre indéfiniment tant il lui est profitable) qui portent en eux un risque sanitaire de grande ampleur (tolérance, résistances, accroissement des doses etc ...)
Par ailleurs, l’argument de la lutte contre la faim est un sophisme complet lorsque l’on sait que les principales plantes d’intéret des grands semenciers transgéniques sont des plantes industrielles à savoir Colza, Maïs, Coton, et Soja. Rien à voir avec la luttre contre la faim donc.
Quand à l’anecdote, il serait plus honnête de préciser que les teneurs en mycotoxines dans les maïs non transgéniques sont de toute façon inférieurs aux règlementations sanitaires.