Spartacus,
Désolé de le dire, mais vos commentaires sont mous. Il ne suffit pas d’énoncer les chiffres, mais de savoir ce qu’on en fait.
J’ai été un homme de chiffres pendant ma vie active. Les graphiques, leur interprétation, je connais.
On vous dit que « ’appliquer un raisonnement de micro-économie à une logique macro-économique », ce que je trouve tout à fait exact, vous répondez à côté de la plaque.
La marco-économique n’a rien à voir avec votre petit business dans vos coins où vous avez décidé de déposer vos valises.
Il faut prendre du recul devant des chiffres, faire le bilan et en tirer des conclusions pour les améliorer.
Bien sûr que les dettes devront être payées dans le futur, mais tout dépend de ce qu’on fait des emprunts. Si une dette est fait pour une amélioration de la situation, elle sera remboursée par elle.
« Les chiffres sont une bonne chose et leur interprétation en est une meilleur » dit Mortelune, et il à 100% raison. Quand on investit pour détruire, c’est à fond perdu.
Quand à vos attaques contre les fonctionnaires, ils sont un peu périmés. L’Etat agit aujourd’hui comme un chef d’entreprise. Il élague là où il faut, pour faire des économies. La Cours des Comptes de la France, je ne connais pas assez, mais chez moi, c’est le cas.
Alors, SVP, racontez-nous dans un prochain articles dans quel cas vous avez fait évolué le schmilblick dans le bon sens.
C’est de la microéconomique, mais, au moins, de cela vous pouvez parler.
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