Si, si : pour les banques, la planche à billet est tout à fait magique, puisqu’elle a disparu, et été remplacée par juste quelques écritures.
Une banque a le droit de créer de l’argent ex-nihilo : 10 fois plus qu’elle n’en possède ; c’est l’argent de la dette.
Jusqu’à 1973 ; voyez comme c’est bizarre : pas de dette.
En 73, loi Giscard-Pompidou, suivie des Accords de la Jamaïque, puis du Traité de Maastricht, OBLIGEANT les états à emprunter aux banques privées, et hop, départ exponentiel de la dette.
Rappelons aux oublieux ou mal-comprenants, que l’argent emprunté par l’état aux banques a DÉJÀ ÉTÉ INTÉGRALEMENT REMBOURSE ! le dette qui subsiste ne représente que les intérêts illégitimes engendrés par ce mécanisme d’usurier des états, ayant engendré le marché spéculatif, la financiarisation de l’économie, la privatisation et l’asservissement des états et des citoyens par les mafias financières.
Les Mmarvin et autres spartacus feraient bien de fermer leur gueule ; ça leur éviterait qu’on s’aperçoive de leur collaboration à un système mafieux et dictatorial.
Les voilà, les vrais chiffes : (évolution de la dette française depuis 1950) ; bizarre, spartacucus ne nous les a pas sortis, ceux-là !
L’endettement des pays a, évidement, été créé de toutes pièces, pour IMPOSER le libéralisme, la privatisation du monde, et sa dépendance aux mafias financières.
Tous les économistes et analystes sérieux le savent, le disent (le plus souvent dans le désert, tant leur discours est couvert par la doxa libérale soutenue par tous les médias) depuis des années.
Pour ceux qui s’intéressent un minimum à ces choses, la seule chose claire est que ceux qui continuent le déni, et à défendre le système actuel, sont ; soit ceux qui en profitent (au détriment du plus grand nombre, c’est à dire des exploiteurs, des oppresseurs, des bandits), soit des collabos, qui espèrent en profiter bientôt ou syndrome du larbin), soit des abrutis qui n’ont pas les capacités intellectuelles d’analyser les choses, au delà du discours TINA imposé.
Dans tous les cas, des imbéciles nuisibles.