Je vais essayer de tirer quelque chose de ce salmigondis,
Pour commencer, cette remarque : PV déclare que participer à un débat qu’il a ouvert, c’est venir le chercher. Je cite : ’’ Je passe sur vos allégations de fantasme en vous rappelant
tout de même que c’est vous qui venez me chercher en postant sous mes articles’’ (PV)
Je dis : celui qui soutient que ce n’est pas de la communication paradoxale, n’est pas crédible. Celui qui communique de cette façon n’est pas habilité à parler de la communication paradoxale.
A ma question : « Mais
de quel paradoxe parlez-vous ? »
PV répond : ’’Mais allons donc, c’est simple
voyons, je parle de celui que vous êtes incapable de voir lorsque je dis :
« Voir dans un texte des amalgames
là où il n’y en a pas et les ignorer lorsqu’il y en a : voilà bien un
archétype de la position perverse d’un observateur ».’’
Serais-je le seul à voir un amalgame ici ?
Gaspart Delanuit a écrit ci-dessous : ’’(dans la seconde partie ) vous tentez de faire entrer le lecteur dans une
sphère complètement différente de celle des évidences exprimées dans la
première partie de l’article. ’’
Je dis : celui qui soutient que cela n’est pas la description d’un amalgame, n’est pas crédible. Celui qui commet cet amalgame n’est pas crédible.
Enfin, pour finir, encore une : PV écrit : ’’JL, ou l’art et la manière de s’attacher à la forme tout en
ignorant le fond : com’ d’hab… bis repetita.’’
J’essaie généralement de condenser et concentrer ma pensée pour être concis, afin de faciliter l’échange. Ce n’est pas le cas de Vergnes qui se livre systématiquement à une diarrhée verbale au sujet de la forme et destinée à noyer le fond de l’argument du contradicteur.
Celui qui dit que cette manière de procéder n’est pas l’art et la manière de s’attacher à la forme tout en ignorant le fond n’est pas crédible. Celui qui pratique cet art et cette manière n’est pas crédible.
Bref, Philippe Vergnes ne voit pas le monde comme il est mais comme il le voudrait : dans ce monde, tous ses contradicteurs sont pervers, et tous ceux qui le flattent sont droits.