Commentaire de Henri Diacono alias Henri François sur Hannah Arendt : la banalité du mal

Henri Diacono alias Henri François 15 mai 2013 03:05

A cent pour cent avec vos réflexions Ariane mais hélas, il est indéniable que sur cette foutue planète demeureront encore pendant longtemps, très longtemps même, les « dominants » et les « dominés » et que notre propre passage, notre vie, ne pourra pas changer les règles, sinon les faire bouger d’un milliardième de millimètre. Notre tâche essentielle - en dehors de toute confiance aveugle à donner à quiconque, socialiste compris - est de continuer de « gueuler » autour de soi. On trouvera certainement des échos qui de génération en génération finiront par raboter cette infâme servilité sans cervelle. En traçant son « propre chemin le plus proprement possible » que certains appelleront égoïsme ou traitrise.
Mais alors un autre cauchemar, terrible se répandra. Dotée enfin d’une conscience ou intelligence ou paix unique en son sein que fera donc l’espèce humaine sinon... s’emmerder, en ayant perdu à jamais le pouvoir de gueuler ! Avant d’en arriver à ce stade, elle aura peut-être eu le temps de contaminer Mars ou Jupiter.
Amicalement.

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20/05 21:01 - Hermes

Quelle tristesse ! Je vous souhaite mieux que cette démission, chaque homme possède un infini (...)
20/05 19:35 - modesto

@ariane walter : les monstres sont peut-être pragmatiques, mais les dogmatiques sont sûrement (...)
20/05 17:29 - gotjy

Bonjour ma chère Ariane,vous atteignez les sommets par la pertinence de vos articles,vôtre (...)
20/05 13:58 - modesto

en fait, vous voulez nous dire quoi, cher julius ?...
20/05 13:38 - gordon71

l’éloquence du vide sans doute
20/05 13:31 - Gaspard Delanuit

D’accord, mais pourquoi tant d’espaces inutiles entre vos paragraphes ? (...)