C’est Nabum
L’artiste !
compte toujours deux fois,
Pour
mieux conter de foi. Mieux vaut donc,
Avoir
un artiste à la clef, pour porter en une fois
Deux
fois plus le message, et boucher la boucle. Et tonc !
.
Le
premier mot de ce conte, est aussi le dernier,
Mais
il ne peut être partout à la foire,
Surtout
celui-là. La réciproque est déconseillée,
Car
un vers ça va, ensuite, attention aux déboires.
.
Comptez bien Conte, quand
dans le mien,
Votre nom de
code n’y ést pas.
Le chiffre
cinq, je citais bien,
Mais de sa
place, question est là !
Car au premier mot de ce billet,
Le sens est fait au jeu,
non à l’histoire,
Dont il hait, la forme
donnée, à ces joies illusoires.
.
Le mot premier, finissant
l’alphabet c’est notoire,
N’est alors plus qu’un
verbe, mais nait d’un signe,
Qui ne veut pas dire zéro.
C’est un gogol qui gueule au dortoir.
C’est l’appel et son seau,
l’ordre donné, à la haine de se coucher en insigne.
.
Jouer est un jouet, la
haine à son pied, ce N à 90 degrés dépouillé,
Devient tout froid et
léger, il devient Z, et ca nous aide beaucoup.
Ca aide l’homme, et c’est
comme ca que d’après moi, Nabum premier,
Maitre de la controverse
renversée, nous invite à « joueZ » !
.
Chapeau de beau coup