Commentaire de Philippe VERGNES
sur La « novlangue » des psychopathes
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"Allons, Vergnes,
ne jouez pas au plus fin avec moi : la ruse n’est pas la finesse, désolé de vous décevoir.
Vous me demandez où est le paradoxe dans cet appel au secours ? Mais dans le fait que vous dites justement que ce n’en est pas un. C’est facile, non ?"
Mais je ne joue pas mon cher JL !
Votre affirmation est une pétition de principe et votre interprétation ne fait pas preuve de la validité du paradoxe, d’où l’utilité des tours de paroles dont vous êtes incapables, dès lors que l’on n’adhère pas à vos propos.
Derniers commentaires
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22/05 15:23 - Hervé Hum
Bonjour Philippe, j’ai bien pris note que vous vouliez forger un peu plus votre pensée (...)
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20/05 13:02 - COLRE
Bonjour Philippe VERGNES, « Vous aviez lu les liens (me semble-t-il, de mémoire) que je vous (...)
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18/05 18:47 - JL
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18/05 17:14 - Philippe VERGNES
COLRE, Merci de vous inquiétez pour JL et moi, mais rassurez-vous, nous nous aimons. Il suffit (...)
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18/05 16:10 - JL
Chère Colre, il y de quoi être agacé quand on rétorque à quelqu’un qui disait que le (...)
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18/05 15:48 - COLRE
Philippe Vergnes, Je n’ai pas suivi de près vos démêlés avec JL, mais je connais bien (...)
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