Tenons pour
bonne santé sunnite de faire erreur dans une formule chiite, sans les écoles de
France et surtout les françaises, je ne serais pas Volt c’est certain. Mais
méfiez-vous, ça peut être comédie, un concours de lecture ou récitation vous
laisserait à plate couture, quelles que soient par ailleurs les qualités de
niyya en négociations pour des barons de la pègre alcoolisée… 
Essayez نعينع à
téhéran sur sourat el-nour…
Pour ce qui est
du mehdi, non constant, c’est pas un détail, la wilâya par rapport à ça est
grave, elle opère une mise à plat de la dimension eschatologique en soumettant
une logique de l’imaginal et de l’intermonde aux misères du vingtième siècle, c’est
un massacre ; il a été nécessaire, passager, miraculeux, mais c’est bon,
il est l’heure de tourner cette page, khomeiny est génial, mais il n’est pas
plus que des centaines de cheikhs de l’histoire. Point.
Agent,
oui les
alaouites sont pas nombreux, mais pas non plus tous prêts à se battre, oui ils
ont une histoire de persécutions eux aussi, mais ils savent que le salafiste
reste une minorité au sein du sunnisme ; après tout le tombeau de zaynab
haut lieu chiite au cœur de damas aujourd’hui menacé a été gardé et entretenu
par les sunnites eux-mêmes sur 14 siècles, c’est ce que rappelait le chef du
hezbollah.