L’urgence absolue était bien de se débarrasser de Sarkzoy et de sa clique. C’est fait.
Peux d’électeurs se faisaient des illusions sur la politique que suivrait Hollande. Tout le monde a compris que nous suivons un programme dicté par des instances insaisissables et anti-démocratique, type FMI, Commission Européenne et autres enceintes opaques dans lesquelles agissent les collaborateurs protégés du nouvel ordre mondial.
Admettons que nous ne sommes pas maître de notre destin. Les élections sont une formalité tant le choix est contraint entre la droite dure et la droite molle. Les deux candidats sont choisis par les financiers qui possèdent les grands médias.
Il est probable qu’une étude démontrerait que le nombre de voix est proportionnel au temps d’exposition dans les médias.
Le peuple, au nom duquel tout est décidé, n’a plus guère l’occasion d’exprimer sa volonté. La dernière fois qu’il l’a fait, les résultats ont déplu à l’oligarchie et ont été invalidés par les deux partis.
Alors que faire lorsqu’une oligarchie confisque le pouvoir pour son seul profit, organise l’appauvrissement des populations et impose une politique de régression sociale ?
Que faire quand 0,5% des plus riches accaparent 35% de la richesse mondiale ?
Que faire lorsque des décisions scélérates sont prises par ceux là mêmes qui devraient s’y opposer dans l’intérêt de leur peuple ?
Je n’ai pas de réponse.