L’utilisation de la planche a billet est une politique dite « Keynésienne » contraire à ce qu’est une politique libérale.
Pétard, mais qu’est-ce qu’il aura fallu lire !
La « politique libérale » n’a, effectivement pas besoin de « planche à billet », puisque l’argent qu’elle crée, ex nihilo, ne consiste qu’en des opérations virtuelles. Pas de planche, pas de billet ; juste quelques jeux d’écriture, pour créer, de toute pièce, de l’argent qui n’existe pas autrement que comme DETTE. Faut-il rappeler aux salopards libéraux, qu’une banque ou n’importe quel organisme financier peut ainsi créer 10 fois plus d’argent, qu’il n’en possède en réserve ? Que cet argent n’existait pas avant le jeu d’écriture, et qu’à partir de ce jeu d’écriture, il asservit ceux à qui il est « prêté » à des taux d’usure prohibitifs ? Que les jeux de casino pourris qu’engendre la spéculation, c’est à dire le système libéral, ont entrainé, entrainent et entraineront la faillite de l’économie réelle, la faillite des banques, seulement évitée par le renflouement des états, au détriment des si chers « contribuables » ; et que ça leur coûte au moins 1.000 fois plus que les « régimes spéciaux » des fonctionnaires ; fonctionnaires qui ne manquent pas d’être utiles aux libéraux quand ils se déplacent, mettent leurs enfants à l’école, vont à l’hôpital, sont soignés, sont protégés, etc, etc...
Leur rappeler aussi que ce sont bien les banques et la spéculation qui ont toujours engendré TOUTES les crises, que l’on fait payer, AUX CONTRIBUABLES, par l’augmentation du temps de travail, les licenciements, le chômage, la démolition des services sociaux, du code du travail, l’aggravation des inégalités ?
Les libéraux ne peuvent pas ignorer ça ; ils le savent parfaitement, et se déterminent en fonction de leurs seuls intérêts. Les libéraux sont des ordures, à mettre hors d’état de nuire.