« quand on sait qui tient les système des prix Nobel »
Il y a eu une « polémique » à ce sujet (source) :
« Dans une lettre ouverte datée du 31 mars [2011], signée par deux scientifiques, Jan C Biro, professeur honoraire à l’Institut Karolinska de Stockholm, et Kevin B. MacDonald, professeur de psychologie à l’Université d’Etat de Californie, un comité agissant sous le nom de »Revision Comity of the Nobel Foundation« , dénonce : »The Jewish bias of the Nobel Prize« , le »parti pris juif« du prix Nobel. [...] Leur longue analyse rappelle pour commencer le règlement établi par Alfred Nobel stipulant que les prix doivent être distribués sans considération de la nationalité des lauréats, aux plus méritants. On en eût douté !
Après ces prémisses, nous entrons dans le vif du débat. La Fondation Nobel a ignoré ce principe fondateur. En effet de 1901 à 2010 (soit en 110 ans), selon leur calcul, 543 prix Nobel ont été attribués à 817 lauréats et 23 organisations. 181 récipiendaires, soit 21,5 %, étaient juifs alors qu’au plus 659 étaient des lauréats non-juifs (ou »gentils« , selon la terminologie retenue par les auteurs). Ces derniers entrent ensuite dans de savants et pernicieux calculs par rapport à la population mondiale. Etant donné que les juifs ne représentent jamais que 0,2 % de l’humanité, les 659 lauréats non-juifs ou »gentils« correspondent à 6,6 % des lauréats, alors que les 181 lauréats juifs correspondent à 905 % des lauréats en valeur globale. En somme, écrivent les signataires, il y aurait 137 fois plus de juifs que de non-juifs récompensés au niveau mondial par le Nobel (mais simplement 26,3 fois plus pour ce qui est des Etats-Unis). [...] »
En résumé ces deux scientifiques s’étonnent (à tort ou à raison ?) que 1/5 des prix Nobel soient attribués à des Juifs alors qu’ils ne représentent que 0,2% (1/500) de la population mondiale.
Alors je n’ai pas l’habitude de pratiquer la langue de bois et je me fiche du « politiquement correct », du « qu’en dira-t-on » ou des étiquettes qui pourraient m’être collées, si ça en amuse certains (à vrai dire et pour extrapoler il s’agirait d’Ouzbeks ou Inuits taoïsto-orthodoxo-chiites que ça n’y changerait rien). Mais la question mérite à mon humble avis d’être posée. Comment expliquer une telle disproportion ? Je pose la question sérieusement.
[En aparté et par extension la question mériterait également d’être posée pour certains postes-clés en France aux niveaux politique, administratif, culturel, médiatique,
universitaire, bancaire, de la grande distribution, etc, s’agissant d’une « communauté » ne représentant que 1% de la population française.]