@ julius 1ER
Merci de donner un autre cadre de réponse que les sempiternelles joutes stériles n’aboutissant qu’à des impasses (désolé pour les protagonistes et les antagonistes, je ne dis pas ça pour les stigmatiser, au contraire même).
Étant assez sensible à la vision que j’ai de la réalité, je me dis parfois qu’une énergie très sollicitée l’est la plupart du temps à « mauvais » escient. Je parle de notre énergie intellectuelle, voire physique.
À défaut de la canaliser et de faire en sorte qu’elle ne détériore pas le milieu vivant que nous occupons à l’instar de toute autre espèce, nous la mobilisons à des fins purement spéculatives que nous seuls humains sommes capables d’imaginer (qu’en serait-il si les fourmis et autres insectes en étaient capables aux mêmes échelles que nous ?), mais qui n’en ont pas moins des conséquences tangibles.
Je tente donc dans la mesure de mes moyens de trouver une attitude moyenne, pondérée ou équilibrée au sein du cadre qui m’héberge. Et c’est là où les choses se compliquent, puisque ce cadre est revendiqué comme ressource à la croissance de nos civilisations. Et comme celles-ci au fur et à mesure se transposent au milieu dit sauvage, il devient difficile pour le plus grand nombre de rester en phase avec ce dernier au lieu de contribuer tant et plus à une croissance démesurée tendant à devenir contre nature.
Enfin, la terre elle ne s’arrêtera pas de tourner, et rien que ça rend nos idéologies et nos applications dérisoires... Comme le poil à gratter face à la poutre que certains ont dans l’œil

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Cordialement julius 1ER,
loph