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Commentaire de lucille

sur L'information comme enjeu du 21ème siècle


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lucille lucille 28 mai 2013 21:27

Sur le pont d’Avignon doux comme l’agno.

 

Un seul devoir et un anneau (pas un nano) et il fut délectable affaire car à chevet à vie, précieuse chose que ceci. Comment ai-je pu ? Mais là n’est pas la question, enfin si aussi mais on n’est pas en fin, on est sous, verre. Dans cette rencontre d’un pseudo-lien épistolaire, sans pistolet aux pseudonymes loin d’être de laids, cette gente allure aux allures de gentleman, entre gens connaisseurs du « What A Man », il a fallu que J mêle défaillances, fragiles objets (les Fayence pas les dés) coups, vert...

Si j’avais su qu’avant même d’être un petit garçon, je serais capable d’embêter, un esprit pourtant si tendre, à œuvrer pour des tâches au-delà des apparences du papier, si j’avais su que je serais mâché collé trompé, froissé serait léger, si j’avais su tout ca, l’uni, vers. stsstttss

Punition sadique, venimeuse si on aime bien sur, because le bouton d’allumage du compiou, c’est comme l’allumette constipe, alors en son hommage (la punition pas l’allumette) bouton poussé d’un rien, après bouchon boucher, et bouche coupée pas cousue (l’allumette pas le boucher) j’ai lu les deux anneaux (pas d’âne au poteau) ni d’Anne, faudra mettre la ceinture. On va commencer par du Magma, un morceau bien dark pour que la lave s’envole quand la plume se pose, et y’s’faufile c’est per, vers.

Dire compris serait prétentieux et plein d’orgueil, mais les mots en or ne brillent entre mes  sales mains, entre mes mentaux mal cousus (le gueilleux pas l’emmental) et pas le droit alors de jouer des mots, y’a pas d’mots jouets pour jongler en serpent juteusement, sans juxtaposer d’autre « jeu » pour faire un jus bien buvable, de ma tache bien posée sur le buvard ou plutôt, sur le boulevard d’étages de mon gros mots, à toutes les gares de mon gros « moi » où gît l’ogre J. Tiens, en v’là un bon mot « la gilogrogie » une sorte de géographe à sonnette, qui fit de moi un bon Géotrouverien, et rien d’autre pour déminer ce mot à baliser (pas à bannir) sacré pas à franchir. Cela dit j’étais affranchi, j’ai bien ch, chut c’lui là j’le dirais pas, musique de film pour continuer (pas un truc qui fasse couler) une chevauchée pour diner, et Walt qui rit, vert.

La nuit précédente celles d’aujourd’hui, fut passée à l’encre de tous les pécher. Le courrier pourtant non posté ni affranchi, demeura de pixels en demeure du devoir, de voir l’ampleur du pique sel (même pas marin) même pas marrant de faire rouler les rr en forme de n, même pas d’enfant ce « je » rubin loin des rubis chair à saucisse (et encore c’est pas gentil pour les chipos) chat pollard, et non pas de Poe, faut pas qu’j’m’égard y’a un serpent, artiste est un mot, je suis géné pas ingénu, j’ai le gène haut du petit jnôgme  J’suis fatigué épuisé (pas des « jeux » pas des mots) c’est plus du « je » qu’il me faut, ce qu’il me faut c’est vous parler, mais là n’est pas la question. Mozart vous connaissez, mais pour Wolfgang qui s’est dévoué jusqu’au quintette pour clarinette. J’ai aiguillé mon choix sur l’requiem, rien de funeste (pardon Napoléon) trop mémorable sur l’échiquier est mon grand-père, et certains disent que l’art est mineur en musique, chœur, do,vers le raz des pâquerette, quel article, quelle claque for me, pas d’able au propos…

L’auto description du personnage (le grand pas le petit) fut difficile (pour le petit comme pour le grand) fut d’autant plus dense d’humidité, qu’elle me rappela à l’humilité, mais là non plus, n’est pas la question, un p’tit peu quand même, alors vite fait : je ne bois pas , j’aime pas les n’avions j’préfère l’entrain, j’ai latté la télé j’ai mis M&M’s entre MMS, SMS et MSN, ca fait bien trois et demi, tout va bien je suis mot dit. Le chiffre 6 éteint l’heure mais pas la lumière, si le 3 est toujours demi, car fois 2 ca fait 7, on va écouter Money de gens plein de d’mi temps et d’idées folles, qui peignait les notes comme Jean faisait valser la couleur, et la couleuvre se fait la malle (se cache pas de cash). Juste après on’s’f’ra Shine, c’est moins plane et plus large, c’est plus multiple c’est plu di, vers, et pourtant c’est en 4 temps, mais dans leurs tête il est minuit et des poussières de Mi mageur.

En v’là une question : Pourquoi redire ce qui déjà est écrit et franchira bien vite la boite (aux lettres où d’allumettes) ? Parce que les cris vains ou les vainceries, là n’est pas la question quand l’écrit vint sur l’écriteau de « l’écrit tout » sans égo, « mais n’écrit pas n’importe quoi. » ou le serpent…vert.

Toute la nuit J est passé, la nuit avec n’emporta pas le propos du bobo au dodo. Cinq tours d’horloge pour l’aiguille (la petite pas la grande) ca fait combien en mots ? Au bas mot je dirais 56 heures, je fatigue. Toute la nuit s’étais mieux dit, mais dire mieux autour d’un mot si mal élévé (l’auteur pas le mot) ca ne lève pas l’en, vers.

Histoire de voir ce qu’il en est de la vérité pensée, j’ai pensé cette nuit à une histoire à vous conter, mais là n’est pas l’histoire, si, là est la question mais je ne m’y étendrais pas, pas ce soir, et pourtant qu’elle histoire, mais là n’est pas celle que je vais vous conter...


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