Salut à tous,
Relisant le flot de commentaires, je suis retombé sur le mien du 27 mai à 18h15.
Il débutait ainsi : « « vont ruiner nos sociétés » Oui ? Et après ? ». Et là, je vois : votes -7, 2 positifs et 7 négatifs.
Je ne pensais pas que ma sortie allait récolter ce score !
Évidemment, faire preuve de fatalisme n’est peut-être pas la chose la mieux perçue. C’est même flagrant ici. Mais m’appuyant sur ma perception des choses, j’estime quand même que l’organisation que nous transposons à la simple mécanique physique animant la vie sur terre est hélas bien mal orientée.
Comment puis-je nier que notre mainmise a développé au sein de l’environnement des conséquences au moins néfastes, et parfois même létales sur la faune, ou la flore, ou la cohérence d’un milieu se suffisant à lui même tant que nous ne mettons pas notre grain de sel dedans ?
Tant pis si cette vision des choses emporte peu d’agréement, mais je trouve quand même que nous sommes bien présomptueux à vouloir dompter un milieu ambiant qui nous a initialement enfanté ainsi que toute la diversité vivante, inerte, physique et cætera et qui selon toute vraisemblance devrait poursuivre son mouvement pour longtemps encore. Je ne m’appuie ni sur des travaux collectifs (scientifiques ou autres) pour constater la réalité qui me saute aux yeux...
Et donc, si société humaine il y a, je suis bien forcé de constater qu’elle canalise à son profit (plutôt insensé pour moi) un milieu restant soumis à des équilibres dépassant largement n’importe quelle influence humaine.
Ne niant pas plus la brièveté de l’existence humaine, j’en conclus que ces civilisations portant à mon sens bien mal ce substantif, ont des incidences dont, à mon échelle, je ne vois pas bien le bénéfice dans le cadre de la pérennité vitale.
De réalité, il n’y en a qu’une. Après, à chacun ses interprétations, mais on ne m’otera pas de l’idée que chacun va au bout de sa vie, et qu’il est bien dommage d’édifier un système aussi pervers que « le nôtre » pour aboutir d’une manière ou d’une autre à la même finalité ! Je me dois de la respecter, tout comme mon existence ici bas 
Salutations