Bien évidemment, bonsoir Volt, ravi de votre commentaire.
Comme vous
l’avez précédemment souligné, ma présentation
n’est pas toujours soignée. Je me fais donc patiente d’arpenter la voie
cellulaire vers un quai au doux son loin de l’ourson, des fonds noirs des
ailes courbées des fées illusoires. Répondons donc d’une autre manière :
« superbes
photos... »
Je lui dirai, c’est un ami fantastique qui vogue entre mer
et étoiles. J’ornementerai les articles à venir avec ses clichés, devinant
votre œil alarmé je me surprends à croire que ces photos pourraient sortir,
d’un coup de lame et entrer dans le dessin que je vous dessinerai en classe,
une fois ma fuguette valsée jusqu’à quai.
« … le vélo, et
surtout pas la même race, ça irait jusqu’au drap peau »
Une arène contre l’art haine pour la reine des
questions : « Combien mesure le tour du lac en pousse, en mètres bien
évidemment avec précision à noter comme suit : « Bien
évidemment » quand là est la réponse de la mesure du Lac Estion, c’est
bien évidement « Lacanien » n’oubliant pas que le lac est en pousse
et que mes fleurs sont un cercle qui vague en ombre, las est là la question…
…quand on chute de vélo, il faut savoir…
…refléter dans l’onde d’un microir au miroir, à qui de
droit ? Lègue à l’écho l’égal écho, atout le monde ; tout l’homme
onde ; où l’ohm onde ; le mont de mon deux monte où l’homme à tout
droit de citer, s’il lie humanité au pied des actes comme un écho pilier aux
pieds des Alpes. Est-ce bien cela Volt ?
« et ses
incendies en cage, elle et cris »
Etant assuré d’en avoir délibéré avec les valeurs et ma
plume, je ne répéterai que ceci :
« Je n’écrirai plus jamais à la va vite. » bien
que cela soit la deuxième fois.
« la grande
trahison... pour venir à bout de Dionysos enfant se disent les Titans, y’a
qu’un seul moyen : offrez-lui un miroir... »
Miroir mon beau miroir, dis moi (qui est là + en col aire de
savoir) – (le savoir qui est là additionnés des mots savants avant nous et vous
avant moi) nous sommes toujours dans le bon temps ?
Danserez-vous le temps d’un pas léger en des demis de la
valse à 7 ans ? Donner le pas je suivrais, l’auteur est un bidet à l’ordure,
un rubis cube au quatre « car » étroits mis là sur un coin d’âne au
carreau. C’est tout une histoire de la parodie du « cubi arrondi à moitié
pas rempli » l’histoire du « Bonnet d’Anocoinlice » art on dit
pour certains.
A nos si vous voulez, à nos quoi d’ailleurs ? Ah oui, bien
évidemment à nos miroirs, au nom d’une coupe aile qui fut la noix en cage, où
le moi no cabriole et vous remet à vous ce miroir, il n’est pas mien c’est le
votre, seul il n’est rien et moi par foi de l’histoire je recompte, j’accommode
les tiroirs. On range les playmos on oublie les anneaux alors promis, c’est
donner au pied de la chute en silence je mens, Rome est à vous alors rendons à
César ce qui est tôt bazar.
Plantez une dague ? C’est une blague, c’est vagué douce
heure, c’est le B âpre et après A ce n’est plus ague c’est une bague, êtes-vous
à l’arrêt ?
Douce Volt, pour ma part je me lève du banc direction la gare, n’allant
pas agar au loin mais bien vers la
Gare d’Oloin (communément
appelé Gare d’Avue) par chance j’ai eu vent d’un quai différent, mais le chemin
est double et la ligne est courbe. Par un bond vent donc la remise en question
fut un coup zèle, un coup de coussin au trois ailes dérobées.
Je quitte donc cette allée pour le deuxième temps de la
valse des gouttières, la valse à 7 ans et c’est en mieux car il me faut en
effet vous dire, que Carle dit que si aux nerfs tu portes le mot, il dit aussi
que si haut n’erre rien un dictionnaire est atout, et là enfin c’est Eloi qui
dit ça façon miroir, où…non, je ne me permettrai pas que cela ne soit faux,
mais tenez compte s’il vous plait que je ne saurais m’attentionner dorénavant,
aux bas cesses moins que fut-il nécessaire c’est pas faux c’est pas fourbe,
c’est pas sur.
Mais voir vos pieds allant vers d’autre endroit que ma danse, que je
n’oserai citer ici, même si l’arrêt public est en marche, l’âne et son miroir
aux merveilles serait une histoire à part entière, alors qu’une marche étend le
lac Estion et nous avons au moins fait le tour d’une onde, merci Volt,
Lucille tout court,
servez vous.
Parodie cubique :
Mon querelleur accordéon leurre apprendra à s’accorder à vos pendules, mais en l’honneur des femmes j’aurais une question aux Doctor ès-sagesse je vous repose la question :
Combien Lucille sans trois ailes a-t-elle d’ailes ? Bien évidemment.