Vous êtes un farouche opposant du libéralisme, soit, mais ce n’est pas une raison pour fustiger ceux qui n’adhèrent pas à vos valeurs. Votre arrogance et votre intolérance ne peuvent que vous discréditer aux yeux des participants à cette discussion sur la question posée par Christian Lauru : Peut-on être libéral et anticapitaliste ?
Vous êtes férocement hostile à l’un et à l’autre, OK, c’est noté. Votre point de vue est respecté, à la hauteur du
respect que vous avez de l’avis des libéraux.
Admettons que vous ne puissiez voir dans mon exemple de la relation qui lie le donneur d’ordre à l’exécuteur que la dimension contractuelle. J’en conclus que les considérations philosophiques et symboliques de cet archétype vous échappent. Ce n’est pas un problème en soi, si vous ne me clouez pas au pilori, m’accusant d’être un destructeur des symboles. En l’occurrence ici, il semblerait que le symbolisme vous échappe.
J’ajouterai ceci, cher Monsieur l’informaticien à la retraite :
pensez-vous être mieux qualifié que quiconque pour aborder la dialectique de la relation maitre-esclave, liberté-soumission, sous l’angle de la psychanalyse, de la philosophie, et du symbolisme ?
Être informaticien confère-t-il la plus pertinente autorité pour tenir des propos péremptoires dans le champ de la philosophie et de psychanalyse ?
Seriez-vous un imposteur frustré, qui en
guise d’arguments, ne fait que se gausser en déclarant péremptoirement que ses contradicteurs disent n’importe quoi ?
Les interrogations ne vous obligent pas à répondre. En tout cas si vous le faites, inutile de continuer à me fustiger.