Bof. Le gouvernement pique un milliard aux familles. Il prétend consacrer cet argent a des crèches, mais :
Il ne peut pas y avoir d’affectation d’une ressource a une dépense.
Les crèches, c’est la CNAF et les collectivités locales
On ne voit pas comment la CNAF résoudra son soi disant problème de déficit de ses régimes,, qui justifiait en théorie une ponction supplémentaire sur les familles si les fonds affectes le sont a autre chose.
On voit mal comment les collectivités, massivement a gauche, vont pourvoir financer leur participation a la création massives de crèches compte tenu que : elles ne l’ont pas fait, elles se voient elles aussi ponctionnées par l’État et ont dans l’ensemble des finances en danger.
Dans le même temps, les fonctionnaires ont des sur salaires familiaux : cout total 1,5 milliards d’euro. Ils sont croissant avec le salaire, plus tu gagnes, plus tu touches. Ils n’ont aucune justification sociale ( les fonctionnaires sont déjà payes 17% que dans le prive a travail égal comme le montre les statistiques de la direction de la fonction publique, ils ne sont pas en but a la précarité contrairement a tous les employés du prive). Mais le cout ne s’arrête pas la puisque que les fonctionnaires ont aussi des sur retraites familiales.
Admettons que quelques crèches se créent quand même.
Le cout de journée d’une place en crèche est de l’ordre de celui d’une nuit au Hilton. A la limite prendre une nounou a une ou plusieurs familles revient moins cher a tous le monde.
Si je prends l’exemple de Paris la dernière fois que je me suis intéressé au problème, les systèmes de priorités faisait que les principaux bénéficiaires étaient.....les agents de la ville de Paris pour leurs propres enfants...
Bref, on caricaturera a peine en disant qu’un couple ou chacun gagne 2800 euro va payer des impots en plus pour embaucher des fonctionnaires pour garder les enfants des fonctionnaires et assurer le maintient de leur sur salaire familial sans augmenter encore le déficit budgétaire.
Pour faire passer la pilule, on donne une misère aux « en dessous du seuil de pauvreté » et une obole aux associations amies.
Au prix de ce plat de lentille, le CNAFAL approuve. Il serait peut être temps qu’il ait des dirigeants en age d’avoir des enfants concernés