Bonjour Olivier,
Ce ne sont pas les hauts responsables qui s’installent au tour de Fukushima.
Ils lèguent un environnement pollué au générations futurs !
Des politiques sourdes aux mesures de la radioactivité.
Le 29 mars 2011, la même équipe de recherche récidive sa prise de mesures
en l’élargissant à 130 points du village. Les relevés obtenus ont mis
à jour des taux dépassant parfois 10 millisievert par heure.
Par ailleurs, du 5 au 7 avril (à peine un mois après l’accident) , le département de Fukushima, soucieux de
savoir s’il pouvait procéder en temps et en heure à la rentrée des
classes,
a effectué des mesures sur la totalité des établissements scolaires
présents sur son territoire. Selon les résultats de l’enquête menée
auprès des écoles primaires et collèges, 75,9% enregistraient un taux
dépassant la norme acceptable établie par la constitution, et 20,4%
entraient dans la catégorie nécessitant un « traitement particulier
pour risque d’irradiation ». Malgré une mise en ligne publique de ces
données par le ministère de l’éducation, données qui révèlent
notamment un taux de 21 microsievert/heure à un mètre du sol et 30
microsievert/heure au sol dans l’école primaire de Tsushima (commune de
Namie), la rentrée des classes a eu lieu comme à l’accoutumée du 5
au 7 avril dans la totalité des écoles.
Si les particules d’iode 131 comprises dans les projections du 15 et du
21 mars perdent de leur activité de moitié tous les 8 jours, les
particules de césium 134 et 137 au nombre de respectivement 4597
becquerel/m3 et 5446 becquerel/m3 sur ce même site préserveront le
même taux de radioactivité durant trente années. source
C’est criminel tout ça ... même les russes (Tchernobyl) n’ont pas ose à faire revenir les gens dans des zones contaminés !