La méprisable campagne de presse autour de cette regrettable mort, au cours d’une rixe déclenchée par une milice d’extrême-gauche démontre le parti pris, l’influence néfaste de la clique qui contrôle ce pays.
Alors que des dizaines de personnes se font chaque jour détroncher la gueule pour un regard de travers, un téléphone portable ou un sac à main, que des habitants sont harcelés quotidiennement par des dealers, tout ce que Paris compte de bien-pensant, tout le petit monde qui contrôle les médias font de ce gamin un martyr, parce qu’il a eu le malheur d’être tué par un abruti du même acabit, extrémiste lui aussi, mais (hélas pour nous) de droite !
Hé oui, la gauche socialiste en faillite, détourne l’opinion comme au bon vieux temps de Mitterrand, hurle au nazisme, en arrosant pêle-mêle, Barjot, Le Pen, Copé etc...
Et les gogos, toujours aussi bêtes, prêt à suivre n’importe quel charlatan politique tombent dans le panneau... aidés il faut bien le dire par la presse subventionnée et la radio-télévision française.
Pendant ce temps, ils continuent de répandre, à l’instar de Peillon, leur idéologie nauséabonde que l’on croyait enterrée, sans qu’une parole discordante n’ait accès à ces mêmes médias.