Attendez un peu de voir la nouvelle crise que va provoquer ce "système américain qui offre aux étudiants la possibilité de financer
leurs études par un prêt remboursable lorsqu’ils auront un travail« . On en reparlera de cette idée.
Vous avez du mal à vous comparer. Et à Comparer les autres, ce qui fait partie du travail de l’enseignant, quoi que vous en disiez. Les notes se placent dans cet objectif. Elle doivent représenter l’évaluation la moins subjective possible de la valeur des élèves : un mélange entre le mérite et les capacités.
Il faut comprendre une réalité : il y a bien plus de travaux déplaisant que de travaux plaisant. Dans les fait, une vaste majorité des gens vont faire un travail qui ne leur plaira pas. Parce que ramasser les poubelles ou faire le ménage est une tâche qui doit être réalisé souvent et qui est impérative, alors que faire une étude sur la façon de »décortiquer le fonctionnement des phrases d’un texte littéraire" aussi plaisant que cela soit. Il faut sélectionner ceux qui pourront faire le métier qui leur sera plaisant et les autres. C’est à l’école de faire cette sélection. Vous éludez complètement cet état de fait.
Vous pointez des éléments réellement problématiques du système de recherche, trop basé sur le copinage. Le système par concours se devrait d’être généralisé. En fait : un concours PRÉCÉDANT la thèse et une automatisation du recrutement après cette dernière serait une solution.
Vous oubliez aussi qu’un élèves, dans les premiers cycle, n’est pas un adulte. Il ne sait pas ce qui est bon pour lui. Il faut sans cesse le protéger de lui même. C’est une des complexité du métier d’enseignant dans les petites classes. Avant de respecter l’élève, il est impératif de ne pas oublier ceci.