Voilà bien le bonheur (le seul ?) que nous promet la médecine à grands frais de recherche et de développement (il y aura un peu de casse avant de voir le soleil vert) : une mort hédoniste et joyeuse.
Allez voir l’ambiance et l’amour confraternel de ces disciples de la solution finale.
@Olivier
avec votre permission je fais un copié-collé d’un de mes commentaires sous votre article du jour
"Pourquoi croyez-vous que le vieux Servier nous fait tourner en bourrique ?
Dans l’attente de méthodes moins guerrières, je propose ceci :
- S’abonner en masse à la revue PRESCRIRE pour obliger cette équipe à
créer avec nous, la revue PRESCRIPTION à l’usage des patients
- Si votre médecin montre qu’il a 3 secondes pour vous écouter,
peut-être que tout n’est pas perdu. Posez-lui alors la question
suivante : « prescririez-vous ces médicaments à votre famille ? » s’il
n’a pas ces 3 secondes : changez-en ! (s’il vous répond « oui » scrutez
son visage lors de sa réponse)"
et face à ces saints Thomas empêtrés dans la longue robe de la madame la fée et son bâton tout plein rempli d’étoiles (si cette dame est flic l’est au moins générale) - Boby Lapointe - et pour poursuivre sur les lanceurs d’alerte (sujet de l’article d’Olivier), quand on en a marre de ces gens qui vous offrent la 25ème image, on se dit : tant mieux, il y aura encore des gens pour faire la preuve ou la confirmer jusqu’à la certitude que ces traitements sont au mieux inefficaces, au pire qu’ils altèrent la qualité de vie. Mais ils auront été alertés.
A ce sujet, le docteur Leibowitch qui était invité du plateau chez Ruquier, vient de publier un petit ouvrage à l’attention des personnes sous tri thérapie, avec plein de bonnes nouvelles qu’oublient de leur dire la plupart des médecins qui soignent les personnes atteintes du SIDA. Un lanceur d’alerte en quelque sorte.
Celui-ci ayant glissé à un moment, qu’il ne se battrait pas contre l’industrie pharmaceutique qui pèse 47 milliards, en invitant simplement les patients à exiger cet allègement de leur traitement aux effets secondaires redoutables.
« Pour en finir avec le sida » (Plon)
http://www.liberation.fr/societe/1201553-comment-en-finir-avec-le-sida