En plus de l’application de cette mesure, qui tombe sous le sens, il y en a cinq autres qui me paraissent urgentes :
1) informer sérieusement les populations, mais aussi les médecins (qui, sur les vaccins, connaissent bien peu de choses, en dehors qu’ils leur rapportent beaucoup et vite) sur les véritables avantages et surtout inconvénients des vaccins.
2) Cesser de persécuter les médecins qui, après les avoir sérieusement étudiés, se refusent à les conseiller, l’un n’allant (habituellement) pas sans l’autre.
3) Rendre illégales et répréhensibles toute coercition ou culpabilisation abusive comme celles que pratiquent certains médecins (la plupart) vis-à-vis des parents informés et réticents à la vaccination de leurs enfants.
4) Faire cesser immédiatement toute obligation vaccinale au bénéfice d’un libre choix éclairé, et pour cela mettre à disposition des populations, avec objectivité, toute documentation concernant la nature et la fréquence réelle des effets adverses des vaccins, ainsi que leur taux d’efficacité réel. En particulier, lever toute obligation vaccinale en ce qui concerne certaines professions, étudiants en médecine, infirmières, militaires et autres, spécialement en ce qui concerne le vaccin anti-hépatite B, à haut risque, et aux graves effets secondaires avérés.
5) Dans tous les cas, repousser toute primo-vaccination des enfants au delà de deux ans, ce qui réduit énormément les risques associés, sans pour autant les éliminer d’ailleurs.
Enfin, pour rendre toutes ces mesures possibles, faire cesser l’ingérence et le lobbying effréné des laboratoires pharmaceutiques auprès des autorités politiques.